La décharge publique, un casse-tête
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Re: La décharge publique, un casse-tête
Après une longue attente et beaucoup de désagréments et de souffrances, les habitants des cités des 250 et 300 Logements de la commune de Bougaâ peuvent respirer. Un centre d’enfouissement technique (CET) sera inscrit très prochainement au profit des trois communes de la daïra (Bougaâ, Beni Oussine et Aïn Roua), a-t-on appris auprès de la direction de l’environnement de la wilaya. Le projet sera réalisé sur un site commun aux trois localités et loin des habitations. « On a réalisé qu’un CET ou une décharge publique sont indispensables pour la région, car la décharge qui existe actuellement n’est pas contrôlée et elle se trouve à quelques mètres des habitations qui souffrent depuis longtemps de la fumée et de toutes les incommodités qu’elle cause. » « Après la visite que nous avons effectuée la semaine dernière avec le secrétaire général de la wilaya, nous avons décidé d’accélérer l’étude et nous avons proposé une fiche technique pour ce CET qui a plus d’avantages du point de vue écologique que la décharge », dira la directrice de l’environnement. 30 tonnes de déchets ménagers seront réceptionnées quotidiennement par ce centre. « Ça fait mal de vivre à proximité d’une décharge. La fumée nous étouffe et nos enfants en sont malades. Nous espérons que les travaux du centre seront bientôt lancés pour atténuer cette catastrophe écologique », dira un citoyen. En attendant la réalisation du projet, les habitants continuent à respirer les fumées et les odeurs pestilentielles de la décharge.
L. Hamachi, El Watan
L. Hamachi, El Watan
La décharge publique, un casse-tête
La décharge publique de la commune de Bougaâ, se trouvant à proximité d’habitations (cités 250 et 300 Logements notamment) est le véritable casse-tête numéro un de la communauté.
Faisant face au supplice généré par des odeurs, fumées nocives, rats et chiens qui mettent eux aussi leur grain de sel, les citoyens tirent la sonnette d’alarme une fois de plus, sachant que le projet devant abriter la décharge à Aïssaoua est tombé à l’eau. Aux dernières nouvelles, une autre parcelle située aux frontières de Aïn Roua, Beni Ouassine et Bougaâ vient d’être « repérée ». La nature juridique du terrain risque d’éterniser un peu plus le problème. En attendant une issue heureuse, les citoyens de Bougaâ et des contrées environnantes humeront, pour un certain temps, l’air infesté...
L. Hammachi El Watan
source : sétif.info
Faisant face au supplice généré par des odeurs, fumées nocives, rats et chiens qui mettent eux aussi leur grain de sel, les citoyens tirent la sonnette d’alarme une fois de plus, sachant que le projet devant abriter la décharge à Aïssaoua est tombé à l’eau. Aux dernières nouvelles, une autre parcelle située aux frontières de Aïn Roua, Beni Ouassine et Bougaâ vient d’être « repérée ». La nature juridique du terrain risque d’éterniser un peu plus le problème. En attendant une issue heureuse, les citoyens de Bougaâ et des contrées environnantes humeront, pour un certain temps, l’air infesté...
L. Hammachi El Watan
source : sétif.info
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