Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
2 participants
Page 1 sur 1
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Go-fast sur l'E411 (Belgique): arrêté à 240km/h avec 1 kilo de cocaïne à bord d'une Audi TT
La police judiciaire fédérale a saisi mercredi à Weyler 1,010 kilo de cocaïne, à l'issue d'une course poursuite sur l'autoroute E411 entamée depuis l'aire de Nantimont, dans le sens Namur-Luxembourg, annonce vendredi le parquet d'Arlon.
Les agents de la police fédérale de la route, postés sur l'aire d'autoroute, ont constaté qu'une Audi TT équipée d'une fausse plaque d'immatriculation circulait à grande vitesse. La plaque, renvoyant à un conducteur domicilié à Arlon, ne correspondait pas au véhicule qui devait normalement la porter.
Au cours de la course poursuite, dont les pointes de vitesse ont avoisiné les 240 km/h, le véhicule des policiers a été poussé dans le décor par la voiture en fuite. Aucune blessure grave n'est cependant à déplorer.
Le conducteur bien connu de la Justice
Le conducteur du véhicule incriminé était un Français de 23 ans, bien connu de la justice hexagonale. Il a été présenté au juge d'instruction dans la foulée de son interpellation et est aujourd'hui sous mandat d'arrêt.
Les 1.010 grammes de cocaïne qu'il transportait ont une valeur à l'achat estimée entre 30.000 et 45.000 euros et une valeur à la revente de 100.000 euros.
La police judiciaire fédérale a saisi mercredi à Weyler 1,010 kilo de cocaïne, à l'issue d'une course poursuite sur l'autoroute E411 entamée depuis l'aire de Nantimont, dans le sens Namur-Luxembourg, annonce vendredi le parquet d'Arlon.
Les agents de la police fédérale de la route, postés sur l'aire d'autoroute, ont constaté qu'une Audi TT équipée d'une fausse plaque d'immatriculation circulait à grande vitesse. La plaque, renvoyant à un conducteur domicilié à Arlon, ne correspondait pas au véhicule qui devait normalement la porter.
Au cours de la course poursuite, dont les pointes de vitesse ont avoisiné les 240 km/h, le véhicule des policiers a été poussé dans le décor par la voiture en fuite. Aucune blessure grave n'est cependant à déplorer.
Le conducteur bien connu de la Justice
Le conducteur du véhicule incriminé était un Français de 23 ans, bien connu de la justice hexagonale. Il a été présenté au juge d'instruction dans la foulée de son interpellation et est aujourd'hui sous mandat d'arrêt.
Les 1.010 grammes de cocaïne qu'il transportait ont une valeur à l'achat estimée entre 30.000 et 45.000 euros et une valeur à la revente de 100.000 euros.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Actualité (Mardi 01 Mars 2011) Source "Liberté-Algérie.com" http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=151652&titre=“On
Me Ali Yahia explique les réticences à rejoindre les marches
“On a subi trop de violence, les gens ont peur”
“Il y a un pourrissement partout, dans l’éducation, dans la justice (…) tout le monde bouge. Même en haut, ça bouge”, a-t-il dit.
En dépit de l’impressionnant dispositif policier que le pouvoir convoque à chaque manifestation et le peu d’engouement de la population algéroise, la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) n’est pas disposée à mettre en berne le flambeau de la contestation. Elle persiste à maintenir la pression sur un pouvoir duquel, selon Me Ali Yahia, il “ne faut rien attendre”. Ainsi, elle projette d’organiser trois nouvelles marches samedi prochain à Alger dont l’une sur l’itinéraire Hussein-Dey-place du 1er-Mai, l’autre d’El-Madania vers le siège de l’ENTV et la troisième de Aïn Bénian vers la place des Martyrs.
Mais eu égard aux circonstances dans lesquelles se sont déroulées les précédentes manifestations, nul doute que des interrogations sur le degré d’adhésion de la population ainsi que la défection de la population algéroise ne manqueront pas d’être soulevées. Explication du président d’honneur de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (Laddh). “Nous sommes encore dans un état de siège. On a subi trop de violence, les gens ont peur. Il y a un mouvement de l’histoire et personne ne peut l’arrêter”, a-t-il affirmé, hier, lors d’une conférence de presse animée à la maison de la presse Tahar-Djaout, à Alger. Indice que même l’Algérie n’est pas à l’abri du vent de révolte qui balaie le monde arabe ? “Il y a un pourrissement partout, dans l’éducation, dans la justice (…) tout le monde bouge. Même en haut, ça bouge”, a-t-il dit. Dès lors qu’il y a des mouvements de contestation un peu partout et dans tous les secteurs, pourquoi la mayonnaise ne prend pas pour un grand mouvement à l’image de ceux de Tunisie ou de Libye ? “Laissez le temps de réflexion aux gens (…) il y a ceux qui s’interrogent sur la manière dont devra se faire le changement. Dès que l’état d’urgence sera levé, vous allez voir si le peuple ne va pas sortir.” Mais, insiste-t-il, “il faut aller vers le peuple et expliquer à tous les mouvements que le problème commun, c’est le pouvoir. Il ne faut exclure personne”. Comme pour les précédentes manifestations, l’avocat rappelle que la CNCD entend marcher pour dénoncer la télévision et dire “qu’elle appartient à tous les Algériens”, mais aussi pour revendiquer le départ du système et le changement de régime. “Pas dans le régime”, précise-t-il. Une occasion pour lui d’évoquer l’initiative d’Abdelhamid Mehri, lequel a envoyé une lettre à Bouteflika et dans laquelle il suggère l’organisation d’une transition. “Il demande un changement à l‘intérieur du régime. Il avait écrit déjà une lettre similaire à Zeroual”, rappelle Ali Yahia, avant de décréter : “notre génération est finie. Fini le zaïmisme, l’avenir appartient aux jeunes et l’Algérie n’ira à la démocratie que si ce système part.” Réitérant la solidarité de la coordination avec les révolutions des autres pays de la région, Me Ali Yahia soutient que l’Algérie reste toutefois différente, notamment en raison de l’histoire de sa révolution, de la décennie de violence vécue, mais surtout de la structure du pouvoir en place. “Ici, c’est l’armée qui désigne le Président. Elle est capable de le relever. Elle en a déposé trois, et le quatrième est peut-être en cours”, a-t-il lâché.
Me Ali Yahia explique les réticences à rejoindre les marches
“On a subi trop de violence, les gens ont peur”
“Il y a un pourrissement partout, dans l’éducation, dans la justice (…) tout le monde bouge. Même en haut, ça bouge”, a-t-il dit.
En dépit de l’impressionnant dispositif policier que le pouvoir convoque à chaque manifestation et le peu d’engouement de la population algéroise, la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) n’est pas disposée à mettre en berne le flambeau de la contestation. Elle persiste à maintenir la pression sur un pouvoir duquel, selon Me Ali Yahia, il “ne faut rien attendre”. Ainsi, elle projette d’organiser trois nouvelles marches samedi prochain à Alger dont l’une sur l’itinéraire Hussein-Dey-place du 1er-Mai, l’autre d’El-Madania vers le siège de l’ENTV et la troisième de Aïn Bénian vers la place des Martyrs.
Mais eu égard aux circonstances dans lesquelles se sont déroulées les précédentes manifestations, nul doute que des interrogations sur le degré d’adhésion de la population ainsi que la défection de la population algéroise ne manqueront pas d’être soulevées. Explication du président d’honneur de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (Laddh). “Nous sommes encore dans un état de siège. On a subi trop de violence, les gens ont peur. Il y a un mouvement de l’histoire et personne ne peut l’arrêter”, a-t-il affirmé, hier, lors d’une conférence de presse animée à la maison de la presse Tahar-Djaout, à Alger. Indice que même l’Algérie n’est pas à l’abri du vent de révolte qui balaie le monde arabe ? “Il y a un pourrissement partout, dans l’éducation, dans la justice (…) tout le monde bouge. Même en haut, ça bouge”, a-t-il dit. Dès lors qu’il y a des mouvements de contestation un peu partout et dans tous les secteurs, pourquoi la mayonnaise ne prend pas pour un grand mouvement à l’image de ceux de Tunisie ou de Libye ? “Laissez le temps de réflexion aux gens (…) il y a ceux qui s’interrogent sur la manière dont devra se faire le changement. Dès que l’état d’urgence sera levé, vous allez voir si le peuple ne va pas sortir.” Mais, insiste-t-il, “il faut aller vers le peuple et expliquer à tous les mouvements que le problème commun, c’est le pouvoir. Il ne faut exclure personne”. Comme pour les précédentes manifestations, l’avocat rappelle que la CNCD entend marcher pour dénoncer la télévision et dire “qu’elle appartient à tous les Algériens”, mais aussi pour revendiquer le départ du système et le changement de régime. “Pas dans le régime”, précise-t-il. Une occasion pour lui d’évoquer l’initiative d’Abdelhamid Mehri, lequel a envoyé une lettre à Bouteflika et dans laquelle il suggère l’organisation d’une transition. “Il demande un changement à l‘intérieur du régime. Il avait écrit déjà une lettre similaire à Zeroual”, rappelle Ali Yahia, avant de décréter : “notre génération est finie. Fini le zaïmisme, l’avenir appartient aux jeunes et l’Algérie n’ira à la démocratie que si ce système part.” Réitérant la solidarité de la coordination avec les révolutions des autres pays de la région, Me Ali Yahia soutient que l’Algérie reste toutefois différente, notamment en raison de l’histoire de sa révolution, de la décennie de violence vécue, mais surtout de la structure du pouvoir en place. “Ici, c’est l’armée qui désigne le Président. Elle est capable de le relever. Elle en a déposé trois, et le quatrième est peut-être en cours”, a-t-il lâché.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Le fils de Mubarek, Alaa suggère de frapper l'algérie à la tête
Alaaa Mubarek, le fils ainé du président egyptien Husni Mubarek , n'a pas trouvé mieux afin d'absorber la colère et la grande déception qui frappe le peuple egyptien suite à la défaite de Um Dorman, que de suggérer de frapper l'Algérie à la tête,il a estimé que l’Egypte devait « prendre position » et riposter à la « terreur et à l'hostilité » subie par les Egyptiens à Khartoum, tous les médias lourds egyptiens sont mobilisés afin de polariser au mieux l'opnion publique, chaque soir les algériens se branchent sur les chaînes satéllitaires egyptiennes gignolèsques afin d'assister aux débats stériles et à vides de tout sens, autour du match de Um Durman, des vidéos montées par des egyptiens montrent des soi-disant supporteurs egyptiens se faire tabasser par des supporteurs algériens à Khartoum, au pays du cinéma les mises en scènes n'ont pas trouvé les bons acteurs, sans oublier de parler des insultes en live que les présentateurs lancent à travers leur micro, comme ce Mostafa Abdou qui a traité les algériens de peuple batard,à qui on a appris de s'habiller.Certains ont appelé à priver les bateaux algériens de traverser le canal de suez, et à l'expulsion de l'ambassadeur d'algérie au caire, (qui a reçu aussi son quotat d'insultes sur certaines chaînes Tv Egyptiennes)chose que les Egyptiens n'ont pas du tout fait avec Israël,quelle celle-ci a attaqué la population civile de Gaza en décembre 2008, ou quand le Tsahal a lancé ses troupes sur le Liban en été 2006,le monde arabo-musulmans savent bien que vaut cette egypte qui obéit aux directives américaines quand il s'agit de défendre la cause palestinienne ou toute autre cause arabe, comme la trahison du régime egyptien de son frère Irakien, en ce moment la Turquie, l'Iran et l'Algérie disputent réeelement le leader ship de l'Egypte dans le monde arabo-musulman, il est grand temps pour que chacun des pays occupe sa bonne place sur la scene internationale.
Source "algerie-news.net"
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Bouteflika décréte une amnistie pour les insoumis du service national âgés de 30 ans et plus.
Tout pour éviter la contestation contre le régime. Après la levée de l’état d’urgence et l’annonce de mesures pour l’emploi, le logement et l’informel, c’est au tour d’une amnistie pour les insoumis du service national. Le président algérien vient d'annoncer la régularisation définitive des algériens âgés de 30 et plus qui n'ont pas effectué le service national. Peu de temps après son arrivée au pouvoir en avril 1999, Bouteflika avait décrété une large amnistie pour les jeunes insoumis.
Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a décidé de régulariser « définitivement » les jeunes citoyens âgés de 30 ans et plus au 31 décembre 2011 incorporables et qui ne l'ont pas été, indique lundi un communiqué de la présidence de la République.
« Dans le cadre de l'assainissement de la situation des citoyens vis-à-vis du service national et en prolongement des mesures mises en œuvre pour la prise en charge des préoccupations des jeunes, Monsieur le président de la République, chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, a décidé de régulariser définitivement le cas des jeunes citoyens âgés de 30 ans et plus au 31 décembre 2011 incorporables et qui ne l'ont pas été », précise le communiqué.
« Les responsables concernés du ministère de la Défense nationale ont été instruits pour la mise en œuvre, durant l'année en cours, des mesures adéquates pour l'exécution de cette décision », ajoute-t-on de même source.
Le communiqué de la présidence de la République indique, en outre, qu' un plan calendrier de régularisation des citoyens, concernés par cette mesure, sera diffusé dans les médias publics ».
C’est la deuxième fois que le président algérien décide d’une amnistie en faveur de jeunes algériens qui n’ont pas effectué le service national, obligatoire en Algérie, et d'une durée de 18 mois.
Peu de temps après son élection en avril 1999, Bouteflika avait décrété une large amnistie en faveur des Algériens insoumis. Toutefois, on saura plus tard que cette décision avait été prises à l’époque du président Liamine Zeroual, le prédécesseur de Bouteflika, qui l’avait laissée comme « cadeau » à son successeur.
Le service national constitue un handicap majeur pour les jeunes diplômés algériens qui ne peuvent accéder pas à des postes d'emploi ou voyager à l'étranger sans avoir accompli le service militaire.
Confronté à une contestation sociale et politique de plus en plus grandissante, le pouvoir algérien multiple les signes d'apaisement et les concessions. Début février, le président avait annoncé un train de mesures sociales et économiques pour tenter de résorber le chômage et la crise de logement. La semaine dernière, l'état d'urgence a été officiellement abrogé 19 ans après sa promulgation.
Source "DNA Algérie" http://dna-algerie.com/politique/42-interieure/1434-bouteflika-decrete-une-nouvelle-amnistie-pour-les-insoumis-du-service-national.html
Tout pour éviter la contestation contre le régime. Après la levée de l’état d’urgence et l’annonce de mesures pour l’emploi, le logement et l’informel, c’est au tour d’une amnistie pour les insoumis du service national. Le président algérien vient d'annoncer la régularisation définitive des algériens âgés de 30 et plus qui n'ont pas effectué le service national. Peu de temps après son arrivée au pouvoir en avril 1999, Bouteflika avait décrété une large amnistie pour les jeunes insoumis.
Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a décidé de régulariser « définitivement » les jeunes citoyens âgés de 30 ans et plus au 31 décembre 2011 incorporables et qui ne l'ont pas été, indique lundi un communiqué de la présidence de la République.
« Dans le cadre de l'assainissement de la situation des citoyens vis-à-vis du service national et en prolongement des mesures mises en œuvre pour la prise en charge des préoccupations des jeunes, Monsieur le président de la République, chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, a décidé de régulariser définitivement le cas des jeunes citoyens âgés de 30 ans et plus au 31 décembre 2011 incorporables et qui ne l'ont pas été », précise le communiqué.
« Les responsables concernés du ministère de la Défense nationale ont été instruits pour la mise en œuvre, durant l'année en cours, des mesures adéquates pour l'exécution de cette décision », ajoute-t-on de même source.
Le communiqué de la présidence de la République indique, en outre, qu' un plan calendrier de régularisation des citoyens, concernés par cette mesure, sera diffusé dans les médias publics ».
C’est la deuxième fois que le président algérien décide d’une amnistie en faveur de jeunes algériens qui n’ont pas effectué le service national, obligatoire en Algérie, et d'une durée de 18 mois.
Peu de temps après son élection en avril 1999, Bouteflika avait décrété une large amnistie en faveur des Algériens insoumis. Toutefois, on saura plus tard que cette décision avait été prises à l’époque du président Liamine Zeroual, le prédécesseur de Bouteflika, qui l’avait laissée comme « cadeau » à son successeur.
Le service national constitue un handicap majeur pour les jeunes diplômés algériens qui ne peuvent accéder pas à des postes d'emploi ou voyager à l'étranger sans avoir accompli le service militaire.
Confronté à une contestation sociale et politique de plus en plus grandissante, le pouvoir algérien multiple les signes d'apaisement et les concessions. Début février, le président avait annoncé un train de mesures sociales et économiques pour tenter de résorber le chômage et la crise de logement. La semaine dernière, l'état d'urgence a été officiellement abrogé 19 ans après sa promulgation.
Source "DNA Algérie" http://dna-algerie.com/politique/42-interieure/1434-bouteflika-decrete-une-nouvelle-amnistie-pour-les-insoumis-du-service-national.html
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Libye: les USA envoient des forces armées.
L'armée américaine positionne des forces navales et aériennes autour de la Libye, a annoncé lundi le Pentagone, au moment où les puissances occidentales étudient des options militaires contre le régime du colonel Mouammar Kadhafi.
28 Février 2011 19h02 Sur RTL Info.be
"Nous avons des planificateurs qui étudient plusieurs plans possibles et je pense que l'on peut dire à coup sûr qu'au vu de cela nous sommes en train de repositionner des forces en vue d'avoir la flexibilité nécessaire une fois que les décisions auront été prises", a indiqué ce lundi à des journalistes le porte-parole du Pentagone, Dave Laplan.
> BILAN DE LA SITUATION EN LIBYE
> L'UE GELE LES AVOIRS DU CLAN KADHAFI
Le redéploiement de "forces navales et aériennes" permettra au président américain Barack Obama d'avoir à sa disposition tout un éventail d'options face à la crise en Libye, a ajouté le porte-parole, sans spécifier quels types de navires ou d'avions étaient concernés par ce redéploiement ni quel était le type d'action envisagé.
Un exil de Kadhafi est "une possibilité"
Les Etats-Unis et leurs alliés européens et de l'Otan ont débattu lundi à Genève, en marge du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, des moyens de mettre fin aux violences en Libye et de hâter le départ du pouvoir du colonel Kadhafi.
Un exil de Kadhafi est "une possibilité" pour mettre fin à la révolte sans précédent qui secoue la Libye, a estimé lundi le porte-parole de la Maison Blanche, selon qui les Etats-Unis "étudient" l'éventuelle imposition d'une zone d'exclusion aérienne dans ce pays.
L'armée américaine positionne des forces navales et aériennes autour de la Libye, a annoncé lundi le Pentagone, au moment où les puissances occidentales étudient des options militaires contre le régime du colonel Mouammar Kadhafi.
28 Février 2011 19h02 Sur RTL Info.be
"Nous avons des planificateurs qui étudient plusieurs plans possibles et je pense que l'on peut dire à coup sûr qu'au vu de cela nous sommes en train de repositionner des forces en vue d'avoir la flexibilité nécessaire une fois que les décisions auront été prises", a indiqué ce lundi à des journalistes le porte-parole du Pentagone, Dave Laplan.
> BILAN DE LA SITUATION EN LIBYE
> L'UE GELE LES AVOIRS DU CLAN KADHAFI
Le redéploiement de "forces navales et aériennes" permettra au président américain Barack Obama d'avoir à sa disposition tout un éventail d'options face à la crise en Libye, a ajouté le porte-parole, sans spécifier quels types de navires ou d'avions étaient concernés par ce redéploiement ni quel était le type d'action envisagé.
Un exil de Kadhafi est "une possibilité"
Les Etats-Unis et leurs alliés européens et de l'Otan ont débattu lundi à Genève, en marge du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, des moyens de mettre fin aux violences en Libye et de hâter le départ du pouvoir du colonel Kadhafi.
Un exil de Kadhafi est "une possibilité" pour mettre fin à la révolte sans précédent qui secoue la Libye, a estimé lundi le porte-parole de la Maison Blanche, selon qui les Etats-Unis "étudient" l'éventuelle imposition d'une zone d'exclusion aérienne dans ce pays.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Un fou renverse des dizaines de cyclo-touristes au Brésil.
Cela s'est passer vendredi soir, à Porto Alegre, au Brésil, un groupe de cyclistes enfourchent leurs bécanes pour une promenade tranquille dans les rues du centre-ville. Quand soudain, une voiture surgit et provoque un carton incroyable. L'homme, dont la voiture avait été retrouvé quelques heures après, a été retrouvé ce lundi mais n'a pas encore été arrêté en dépit de ces images.
Cela s'est passer vendredi soir, à Porto Alegre, au Brésil, un groupe de cyclistes enfourchent leurs bécanes pour une promenade tranquille dans les rues du centre-ville. Quand soudain, une voiture surgit et provoque un carton incroyable. L'homme, dont la voiture avait été retrouvé quelques heures après, a été retrouvé ce lundi mais n'a pas encore été arrêté en dépit de ces images.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui jugera elle aussi les fortunes illégalement accaparées..
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui autorisera la libre pleine entier liberté de culte en séparant la religion de l'état...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui donnera au femmes la pleine et entière citoyenneté en leur donnant l'équité des droits...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui cessera de favoriser les Chahid (vrais ou faux tous dans le même sac !)et leur descendance au détriments du reste de la population..
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui ouvrira des centre culturels dans toutes les régions du pays ouverts à tous homme et femmes petits et grand..
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui rendra la langue Française comme composante de notre histoire et redonnera par la même l'erudition aux non-arabisant devenus illettrés, et permettra aux etudiants des filières autre que littéraires de pouvoir avoir le niveau requis..
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui réinstituera la constitution dans ses bases et supprimera la possibilité d'installer un président à vie, et ce après que lecture soit faite et suivie de vote dans les deux chambres législatives...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui aura enfin un président de la république qui cessera de dire les pires bêtises que le monde ait entendu ("il n'y a pas de pays au monde qui ait 2 langues nationales")
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui verra des gens manifester dans les rue de manière libre et pacifique comme cela se passe en démocratie.
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui sera devenue une république republicaine....
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui sera devenue une démocratie démocratique...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui sera devenue enfin populaire ...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui autorisera la libre pleine entier liberté de culte en séparant la religion de l'état...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui donnera au femmes la pleine et entière citoyenneté en leur donnant l'équité des droits...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui cessera de favoriser les Chahid (vrais ou faux tous dans le même sac !)et leur descendance au détriments du reste de la population..
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui ouvrira des centre culturels dans toutes les régions du pays ouverts à tous homme et femmes petits et grand..
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui rendra la langue Française comme composante de notre histoire et redonnera par la même l'erudition aux non-arabisant devenus illettrés, et permettra aux etudiants des filières autre que littéraires de pouvoir avoir le niveau requis..
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui réinstituera la constitution dans ses bases et supprimera la possibilité d'installer un président à vie, et ce après que lecture soit faite et suivie de vote dans les deux chambres législatives...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui aura enfin un président de la république qui cessera de dire les pires bêtises que le monde ait entendu ("il n'y a pas de pays au monde qui ait 2 langues nationales")
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui verra des gens manifester dans les rue de manière libre et pacifique comme cela se passe en démocratie.
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui sera devenue une république republicaine....
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui sera devenue une démocratie démocratique...
Et vive l'Algérie libre et démocratique qui sera devenue enfin populaire ...
Incognito- Bavard
- Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 18/01/2011
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Des historiens français reconnaissent les massacres du 8 mai et les dénoncent.
L’APC de Paris organise le 6 mai prochain dans le cadre de plusieurs activités des recherches sur les massacres qui ont révélé la nature sauvage du système colonial français, et tous les moyens utilisés contre les algériens qui revendiquaient leurs droits d’autodétermination et de liberté.La manifestation se tiendra selon l’agence algérienne de presse sous le sigle Histoire de description et de condamnation, et ce en parfaite collaboration avec l’historien Olivier Lacour Grainmaison, professeur à l’université d’Ivry et auteur de plusieurs livres autour de l’histoire noire du colonialisme français et les massacres du 17 octobre 1961 à Paris.
La rencontre sera animée par plusieurs spécialistes et historiens dans le domaine.
Notons que, qu’en Algérie, on parle de 45.000 Algériens tués, alors que les autorités françaises reconnaissent 7.000 morts.
Aussi, un documentaire : "L’Autre 8 mai 1945″, réalisé avec la participation de « France 2″, a été présenté, il y a près d’une année, à une heure tardive, par cette chaîne publique. Il a été au programmé lors de différents festivals en Italie, en Espagne, en Belgique et au Burkina Faso. En Algérie, il sera diffusé dans une quinzaine de wilayas, à l’occasion de la commémoration de ces massacres.
L’APC de Paris organise le 6 mai prochain dans le cadre de plusieurs activités des recherches sur les massacres qui ont révélé la nature sauvage du système colonial français, et tous les moyens utilisés contre les algériens qui revendiquaient leurs droits d’autodétermination et de liberté.La manifestation se tiendra selon l’agence algérienne de presse sous le sigle Histoire de description et de condamnation, et ce en parfaite collaboration avec l’historien Olivier Lacour Grainmaison, professeur à l’université d’Ivry et auteur de plusieurs livres autour de l’histoire noire du colonialisme français et les massacres du 17 octobre 1961 à Paris.
La rencontre sera animée par plusieurs spécialistes et historiens dans le domaine.
Notons que, qu’en Algérie, on parle de 45.000 Algériens tués, alors que les autorités françaises reconnaissent 7.000 morts.
Aussi, un documentaire : "L’Autre 8 mai 1945″, réalisé avec la participation de « France 2″, a été présenté, il y a près d’une année, à une heure tardive, par cette chaîne publique. Il a été au programmé lors de différents festivals en Italie, en Espagne, en Belgique et au Burkina Faso. En Algérie, il sera diffusé dans une quinzaine de wilayas, à l’occasion de la commémoration de ces massacres.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Information receuillies des journaux Algérien.
Bouteflika répond aux jeunes
Des décisions ont été prises lors du dernier Conseil des ministres. Le président de la république Abdelaziz Bouteflika a envoyé un message fort aux Algériens, à ceux qui réclament un changement au lendemain des émeutes, des tentatives de marche et de l’embrasement du front social. Tout le monde est unanime à dire que cette avalanche de directives sont importantes, voire exceptionnelles sur les volets politique, économique et social. Des mesures, dit-on, à même de réconcilier les Algériens avec leurs institutions si cela était mis réellement et efficacement en pratique sur le terrain.
Des décisions ont été prises lors du dernier Conseil des ministres. Le président de la république Abdelaziz Bouteflika a envoyé un message fort aux Algériens, à ceux qui réclament un changement au lendemain des émeutes, des tentatives de marche et de l’embrasement du front social. Tout le monde est unanime à dire que cette avalanche de directives sont importantes, voire exceptionnelles sur les volets politique, économique et social. Des mesures, dit-on, à même de réconcilier les Algériens avec leurs institutions si cela était mis réellement et efficacement en pratique sur le terrain. Le verrou de l’état d’urgence est levée. La première des mesures importantes prises par le Conseil des ministres est celle relative à l’adoption du projet d’ordonnance abrogeant le décret législatif du 6 février 1993 portant prorogation de l’état d’urgence, institué par décret présidentiel du 9 février 1992. Selon le communiqué officiel, «ce projet d’ordonnance entrera en vigueur dès sa publication imminente au Journal officiel». Trois projets d’ordonnance et un projet de décret présidentiel concernant la levée de l’état d’urgence ont également été adoptés. Par ailleurs, le Conseil des ministres a adopté un décret présidentiel relatif à la lutte contre le terrorisme. Il a défini les missions de l’armée en matière de lutte contre le terrorisme et de «sauvegarde de l’ordre public». «Ce texte confirme que la conduite et la coordination des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion sont prises en charge par l’état-major de l’ANP», selon le communiqué du Conseil des ministres. Ces deux textes «viennent substituer un fondement législatif et réglementaire nouveau à celui prévu dans le texte législatif de 1993 prorogeant l’état d’urgence», précise le communiqué. «De ce fait, ces deux textes n’instaureront aucune situation nouvelle mais permettront, par contre, la poursuite de la participation de l’ANP à la lutte contre le terrorisme jusqu’à son terme», précise le texte. Réconcilier les Algériens avec leurs institutions Le gouvernement veut combler le fossé qui se creuse de plus en plus entre les Algériens et les institutions. Il a décidé de prendre des mesures pour «améliorer sans délais le service public et la qualité de l’accueil des administrés dans les administrations», selon le président Abdelaziz Bouteflika. En premier lieu, le gouvernement devra «hâter (…) la révision du code communal en examen au Parlement, développer une réelle politique de communication des pouvoirs publics et du service public (et) alléger sans cesse les procédures, les circuits et les dossiers administratifs pour améliorer la qualité et l’efficacité du service public ainsi que sa relation avec les administrés», selon le communiqué du Conseil des ministres. La nouvelle image des institutions passe également par la lutte contre la corruption et les dépassements, c’est-à-dire «le gaspillage, les privilèges et passe-droits et l’atteinte aux deniers publics». Le chef de l’Etat a clairement donné consigne aux élus de montrer l’exemple. «Les responsables, à tous les niveaux, doivent donner l’exemple dans ce domaine et être fermes contre toute dérive», a-t-il dit. D’autre part, le président a donné des directives à ce que les concours pour le recrutement d’agents publics soient ouverts en priorité aux candidats issus de la wilaya concernée, qui prendra elle-même en charge l’organisation de ces concours. Accélérer la construction de logements Dans le domaine social, le Conseil des ministres a adopté plusieurs décisions relatives à l’accès au logement, préoccupation majeure de la majorité des Algériens. Le Conseil a décidé d’accélérer la réalisation du programme quinquennal de construction de 1,2 million de logements d’ici à 2014. Il s’agit du recensement «en urgence» des assiettes foncières, notamment dans les grandes agglomérations qui souffrent le plus de la pression démographique, l’inscription dès cette année, soit trois ans avant l’échéance, de «la quasi-totalité des dotations budgétaires en étude ou en réalisation», la mise en route immédiate de plus de 700.000 logements ruraux inscrits au programme quinquennal ainsi qu’«un programme additionnel de 50.000 logements promotionnels (qui) sera inscrit cette année et sera réservé aux jeunes sous la forme de la vente à tempérament». Le Conseil prévoit, pour mener à bien ces décisions, d’accélérer la «modernisation des entreprises publiques du bâtiment». Les entreprises du BTPH bénéficieront d’une autorisation de «recourir au gré à gré simple pour contracter des contrats d’études et de réalisations et, le cas échéant, faire appel aux moyens étrangers de réalisation». Sur le volet financier de l’accès au logement, le Conseil des ministres a décidé l’instauration d’un fonds de garantie du crédit bancaire pour l’accession au logement et promet d’encourager les banques publiques à «s’engager davantage dans ce segment aux côtés des promoteurs». Accès aux crédits pour les entreprises et promotion de l’investissement Le Conseil des ministres a annoncé également de nouvelles mesures en faveur de l’économie. Le Trésor public a été chargé de mettre à la disposition des banques publiques une ligne de crédit à long terme de 130 milliards de dinars renouvelables afin de permettre à ces banques «de financer les projets à maturité longue». Le Conseil des ministres a également décidé la mobilisation des sociétés d’investissements, dont la création par les banques publiques est parachevée, pour gérer les fonds d’investissements des wilayas et promouvoir leur participation pendant une période initiale au capital des PME. Des sociétés publiques de leasing destinées à alléger le coût de la location-vente des équipements pour les nouvelles PME seront également créées à partir de mars 2011, selon le communiqué. L’autre mesure annoncée est la dynamisation des mécanismes déjà en place pour la garantie des crédits aux PME et l’allègement des procédures y afférentes avec le concours de l’autorité monétaire, ainsi que le soutien du Fonds national d’investissement (FNI) aux investisseurs nationaux qui le souhaitent, avec des prises de participation à hauteur de 34 % dans le capital et le financement et pour dynamiser la création des PME. Le Conseil a, par ailleurs, décidé une augmentation de l’abattement des charges patronales de cotisation à la sécurité sociale pris en charge par l’Etat afin d’alléger les charges patronales pour le recrutement des jeunes demandeurs d’emploi. Cet abattement passera ainsi de 56 à 80 % dans les wilayas du nord du pays et de 72 à 90 % dans les wilayas des hauts plateaux et du Sud, selon le communiqué. Université : l’imbroglio de l’ancien système et du LMD levé Le Conseil des ministres a décidé aussi d’abroger le décret présidentiel du 13 décembre 2010 qui a provoqué la grève des étudiants et la paralysie des universités. Ce décret avait introduit une discrimination entre les diplômes de l’ancien système et du LMD, actuellement en vigueur. Le Conseil a confirmé la validité du diplôme d’ingénieur d’Etat délivré par les établissements d’enseignement supérieur et le maintien des formations de magistère pour les diplômés de l’ancien système de formation universitaire jusqu’à son extinction. Le Conseil des ministres a répondu ainsi favorablement aux revendications des étudiants des universités et de l’Ecole normale supérieure (ENS). Le Conseil des ministres a également annoncé «comme priorité l’élaboration des textes devant régir les correspondances entre l’ancien système et le système LMD, tel que prévu par la loi d’orientation de février 2008». Il a également avalisé les recommandations de la Conférence nationale des recteurs des universités en sa qualité d’autorité pédagogique universitaire. Le président Bouteflika a insisté sur «le dialogue et la communication permanents qui doivent accompagner la mise en place graduelle d’une réforme aussi importante et vitale que celle concernant le système national de formation et d’enseignement universitaire».
Bouteflika répond aux jeunes
Des décisions ont été prises lors du dernier Conseil des ministres. Le président de la république Abdelaziz Bouteflika a envoyé un message fort aux Algériens, à ceux qui réclament un changement au lendemain des émeutes, des tentatives de marche et de l’embrasement du front social. Tout le monde est unanime à dire que cette avalanche de directives sont importantes, voire exceptionnelles sur les volets politique, économique et social. Des mesures, dit-on, à même de réconcilier les Algériens avec leurs institutions si cela était mis réellement et efficacement en pratique sur le terrain.
Des décisions ont été prises lors du dernier Conseil des ministres. Le président de la république Abdelaziz Bouteflika a envoyé un message fort aux Algériens, à ceux qui réclament un changement au lendemain des émeutes, des tentatives de marche et de l’embrasement du front social. Tout le monde est unanime à dire que cette avalanche de directives sont importantes, voire exceptionnelles sur les volets politique, économique et social. Des mesures, dit-on, à même de réconcilier les Algériens avec leurs institutions si cela était mis réellement et efficacement en pratique sur le terrain. Le verrou de l’état d’urgence est levée. La première des mesures importantes prises par le Conseil des ministres est celle relative à l’adoption du projet d’ordonnance abrogeant le décret législatif du 6 février 1993 portant prorogation de l’état d’urgence, institué par décret présidentiel du 9 février 1992. Selon le communiqué officiel, «ce projet d’ordonnance entrera en vigueur dès sa publication imminente au Journal officiel». Trois projets d’ordonnance et un projet de décret présidentiel concernant la levée de l’état d’urgence ont également été adoptés. Par ailleurs, le Conseil des ministres a adopté un décret présidentiel relatif à la lutte contre le terrorisme. Il a défini les missions de l’armée en matière de lutte contre le terrorisme et de «sauvegarde de l’ordre public». «Ce texte confirme que la conduite et la coordination des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion sont prises en charge par l’état-major de l’ANP», selon le communiqué du Conseil des ministres. Ces deux textes «viennent substituer un fondement législatif et réglementaire nouveau à celui prévu dans le texte législatif de 1993 prorogeant l’état d’urgence», précise le communiqué. «De ce fait, ces deux textes n’instaureront aucune situation nouvelle mais permettront, par contre, la poursuite de la participation de l’ANP à la lutte contre le terrorisme jusqu’à son terme», précise le texte. Réconcilier les Algériens avec leurs institutions Le gouvernement veut combler le fossé qui se creuse de plus en plus entre les Algériens et les institutions. Il a décidé de prendre des mesures pour «améliorer sans délais le service public et la qualité de l’accueil des administrés dans les administrations», selon le président Abdelaziz Bouteflika. En premier lieu, le gouvernement devra «hâter (…) la révision du code communal en examen au Parlement, développer une réelle politique de communication des pouvoirs publics et du service public (et) alléger sans cesse les procédures, les circuits et les dossiers administratifs pour améliorer la qualité et l’efficacité du service public ainsi que sa relation avec les administrés», selon le communiqué du Conseil des ministres. La nouvelle image des institutions passe également par la lutte contre la corruption et les dépassements, c’est-à-dire «le gaspillage, les privilèges et passe-droits et l’atteinte aux deniers publics». Le chef de l’Etat a clairement donné consigne aux élus de montrer l’exemple. «Les responsables, à tous les niveaux, doivent donner l’exemple dans ce domaine et être fermes contre toute dérive», a-t-il dit. D’autre part, le président a donné des directives à ce que les concours pour le recrutement d’agents publics soient ouverts en priorité aux candidats issus de la wilaya concernée, qui prendra elle-même en charge l’organisation de ces concours. Accélérer la construction de logements Dans le domaine social, le Conseil des ministres a adopté plusieurs décisions relatives à l’accès au logement, préoccupation majeure de la majorité des Algériens. Le Conseil a décidé d’accélérer la réalisation du programme quinquennal de construction de 1,2 million de logements d’ici à 2014. Il s’agit du recensement «en urgence» des assiettes foncières, notamment dans les grandes agglomérations qui souffrent le plus de la pression démographique, l’inscription dès cette année, soit trois ans avant l’échéance, de «la quasi-totalité des dotations budgétaires en étude ou en réalisation», la mise en route immédiate de plus de 700.000 logements ruraux inscrits au programme quinquennal ainsi qu’«un programme additionnel de 50.000 logements promotionnels (qui) sera inscrit cette année et sera réservé aux jeunes sous la forme de la vente à tempérament». Le Conseil prévoit, pour mener à bien ces décisions, d’accélérer la «modernisation des entreprises publiques du bâtiment». Les entreprises du BTPH bénéficieront d’une autorisation de «recourir au gré à gré simple pour contracter des contrats d’études et de réalisations et, le cas échéant, faire appel aux moyens étrangers de réalisation». Sur le volet financier de l’accès au logement, le Conseil des ministres a décidé l’instauration d’un fonds de garantie du crédit bancaire pour l’accession au logement et promet d’encourager les banques publiques à «s’engager davantage dans ce segment aux côtés des promoteurs». Accès aux crédits pour les entreprises et promotion de l’investissement Le Conseil des ministres a annoncé également de nouvelles mesures en faveur de l’économie. Le Trésor public a été chargé de mettre à la disposition des banques publiques une ligne de crédit à long terme de 130 milliards de dinars renouvelables afin de permettre à ces banques «de financer les projets à maturité longue». Le Conseil des ministres a également décidé la mobilisation des sociétés d’investissements, dont la création par les banques publiques est parachevée, pour gérer les fonds d’investissements des wilayas et promouvoir leur participation pendant une période initiale au capital des PME. Des sociétés publiques de leasing destinées à alléger le coût de la location-vente des équipements pour les nouvelles PME seront également créées à partir de mars 2011, selon le communiqué. L’autre mesure annoncée est la dynamisation des mécanismes déjà en place pour la garantie des crédits aux PME et l’allègement des procédures y afférentes avec le concours de l’autorité monétaire, ainsi que le soutien du Fonds national d’investissement (FNI) aux investisseurs nationaux qui le souhaitent, avec des prises de participation à hauteur de 34 % dans le capital et le financement et pour dynamiser la création des PME. Le Conseil a, par ailleurs, décidé une augmentation de l’abattement des charges patronales de cotisation à la sécurité sociale pris en charge par l’Etat afin d’alléger les charges patronales pour le recrutement des jeunes demandeurs d’emploi. Cet abattement passera ainsi de 56 à 80 % dans les wilayas du nord du pays et de 72 à 90 % dans les wilayas des hauts plateaux et du Sud, selon le communiqué. Université : l’imbroglio de l’ancien système et du LMD levé Le Conseil des ministres a décidé aussi d’abroger le décret présidentiel du 13 décembre 2010 qui a provoqué la grève des étudiants et la paralysie des universités. Ce décret avait introduit une discrimination entre les diplômes de l’ancien système et du LMD, actuellement en vigueur. Le Conseil a confirmé la validité du diplôme d’ingénieur d’Etat délivré par les établissements d’enseignement supérieur et le maintien des formations de magistère pour les diplômés de l’ancien système de formation universitaire jusqu’à son extinction. Le Conseil des ministres a répondu ainsi favorablement aux revendications des étudiants des universités et de l’Ecole normale supérieure (ENS). Le Conseil des ministres a également annoncé «comme priorité l’élaboration des textes devant régir les correspondances entre l’ancien système et le système LMD, tel que prévu par la loi d’orientation de février 2008». Il a également avalisé les recommandations de la Conférence nationale des recteurs des universités en sa qualité d’autorité pédagogique universitaire. Le président Bouteflika a insisté sur «le dialogue et la communication permanents qui doivent accompagner la mise en place graduelle d’une réforme aussi importante et vitale que celle concernant le système national de formation et d’enseignement universitaire».
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Alerte aux billets contrefaits !
Des bandes organisées spécialisées dans la contrefaçon de la devise nationale s’attèlent à embaucher des jeunes et des enfants pour faire circuler les billets de mille dinars et les dépenser dans des magasins d’alimentation générale, des stations service et chez des buralistes. Les services de la gendarmerie nationale enquêtent actuellement à remonter au laboratoire qui fabrique ces billets, difficilement identifiables par les appareils de détection.
- Ces différentes affaires induites par l’utilisation frauduleuse des outils technologiques, alors que le phénomène de la fraude et de la contrefaçon prend de l’ampleur, avec la contrefaçon des billets de banque, le maquillage des véhicules et la falsification de documents officiels. Les investigations dans ces affaires ont également mis au jour leur rapport avec des réseaux de trafic de drogue et des groupes terroristes.
- Le groupement de la gendarmerie de la wilaya de Relizane avait dans ce cadre interpellé la semaine dernière des faussaires qui écoulaient sur le marché des billets de mille dinars, allant jusqu’à "embaucher" des femmes pour faire circuler cet argent contrefait sans éveiller de soupçons.
- Farouk Mezarchi, commandant du groupement de wilaya de la gendarmerie de Relizane a révélé à Echorouk les détails de cette affaire suite à la plainte d’un citoyen au sujet d’un véhicule fuyant à toute allure sur la route nationale numéro 23 reliant Relizane et Tiaret. Le plaignant pensait en fait à un véhicule volé avant que les services de la gendarmerie de Mendès ne concluent qu’il s’agissait d’une affaire de contrefaçon de monnaie, appuyés par le témoignage du propriétaire d’une épicerie auquel une jeune fille a acheté une bouteille d’huile en payant avec un billet de mille dinars. Cette même personne suspecte s’est ensuite dirigée vers un kiosque mitoyen pour acheter un flacon de shampoing en s’en acquittant encore une fois au moyen d’un billet de mille dinars. Lorsque le vendeur a tenté de la rattraper, la fille a fui à bord d’un véhicule de type Mégane.
- Les unités de la gendarmerie ont alors été alertées et ont réussi, à Oued Djemaa, à intercepter le véhicule en tirant dans les roues puisque ses occupants ont refusé de se rendre aux appels de sommation. Le conducteur et son comparse ont réussi à s’échapper tandis que la jeune fille a été arrêtée. Cette dernière est âgée de 22 ans, elle est employée dans le cadre du filet social à Relizane.
- La fouille du véhicule a permis de récupérer une somme de 54 mille dinars en coupons de mille dinars, en plus d’une somme authentique de 16 millions de centimes qui représente en fait "la récolte" de l’écoulement de l’argent falsifié.
- La mise en cause a reconnu avoir dépensé des billets falsifiés de 200 et 1000 dinars dans plusieurs villages. Elle dit ne pas connaitre le conducteur, mais elle a identifié son ami, qui a d’ailleurs des antécédents avec la justice et actuellement recherché par les services de sécurité pour de nombreux chefs d’accusation.
- L’enquête est encore en cours pour l’identification du réseau de trafic et du laboratoire où sont fabriqués ces billets avec une grande perfection, puisque les détecteurs des banques ne peuvent les détecter. Selon notre interlocuteur, c’est la troisième affaire du genre enregistrée à Relizane.
- Par ailleurs, les chiffres en possession d’Echorouk font ressortir que le phénomène de contrefaçon de la monnaie nationale a touché 21 wilayas, notamment Msila, Médéa, Oued Souf, Ain Temouchent, Tlemcen, Oran, Alger, Tamanrasset et Tébessa. Depuis le début de l’année, plus de 1,2 milliards de dinars d’argent contrefait ont été saisis; des billets de 200, 500 et 1000 dinars.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Le coup de gueule de l'ambassadeur de Libye à téhéran contre aljazeera
https://www.youtube.com/watch?v=2sTV9QIvKXM&feature=player_embedded
Le peuple egyptien juge ses corrompus, eh oui ..
https://www.youtube.com/watch?v=XVJ95iIHgn8&feature=player_embedded
Alger dément son implication en Libye
26-02:L'Algérie dément de "la manière la plus catégorique" les allégations mensongères sur l'utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye, indique samedi le ministère des Affaires étrangères.
"Le ministère des Affaires étrangères dément, de la manière la plus catégorique, les allégations mensongères colportées par certains sites électroniques ainsi que par certaines chaînes de télévision satellitaires sur une prétendue utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye", précise le communiqué.
"Ces allégations insidieuses vont à l'encontre de la position doctrinale, bien connue, de l'Algérie qui récuse, de manière absolue, l'ingérence dans les affaires intérieures des Etats", souligne le ministère.
Le site web de l'opposition algérienne Rachad installée à londre a acccusé dans son éditorial daté du 25 février, le gouvernement algérien de porter main forte au régime de Khadafi, surtout d'un point de vu logistique, et dans le transport des mercenaires que Khadafi utilise pour mater la révolte populaire. APS et algerie-news
https://www.youtube.com/watch?v=2sTV9QIvKXM&feature=player_embedded
Le peuple egyptien juge ses corrompus, eh oui ..
https://www.youtube.com/watch?v=XVJ95iIHgn8&feature=player_embedded
Alger dément son implication en Libye
26-02:L'Algérie dément de "la manière la plus catégorique" les allégations mensongères sur l'utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye, indique samedi le ministère des Affaires étrangères.
"Le ministère des Affaires étrangères dément, de la manière la plus catégorique, les allégations mensongères colportées par certains sites électroniques ainsi que par certaines chaînes de télévision satellitaires sur une prétendue utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye", précise le communiqué.
"Ces allégations insidieuses vont à l'encontre de la position doctrinale, bien connue, de l'Algérie qui récuse, de manière absolue, l'ingérence dans les affaires intérieures des Etats", souligne le ministère.
Le site web de l'opposition algérienne Rachad installée à londre a acccusé dans son éditorial daté du 25 février, le gouvernement algérien de porter main forte au régime de Khadafi, surtout d'un point de vu logistique, et dans le transport des mercenaires que Khadafi utilise pour mater la révolte populaire. APS et algerie-news
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Nous avons affaire à une poignée d'autiste têtus : Sadi Saïd revendique une audience nationale, je veux bien le croire et je suis de tout cœur avec ceux qui rêvent d'une amélioration de la vie des algériens, en leur donnant la plénitude de leurs droits démocratique de citoyenneté, en rendant le pays à ses habitants, en supprimant tous les passe-droit,les privilèges et les abus, en sommant tous ceux qui ont pris part à la direction de l'état depuis sa créations de répondre de tous leur méfaits de toute sorte.
L 'Algérie ne doit plus être la captive de ces pirates, elle n'appartient pas non plus à ces faux-moudjahid et enfants de martyrs,qu'ils soient vrais ou faux. Si des gens sont morts pour la patrie, c' est bien pour la patrie toute entière et pas seulement pour leur famille propre.
Je ne comprends pas non plus pourquoi on s'acharne à faire la manifestations à Alger, est-ce à dire que les 47 autres wilayas du pays n'existent pas sans Alger ? Les grandes avancées du pays se sont crées principalement à Sétif, Constantine, Bejaia, El kseur, Batna bien plus qu'à Alger qui n'a fait que suivre ce qui commençait ailleurs. Le gouvernement pourrait-il développer 30 000 gendarmes et policiers dans toutes les wilayas du pays ? ....Hum, 30 000x48=1 440 000 forces de l'ordre ..
Ce gouvernement s'ingénie (sans trop se forcer vue que les algériens s'entendent très mal entre eux) à pourrir le sens originel des manifestations, afin de tourner en ridicule les mouvements politiques d'opposition, en employant divers moyens de subversion, et il y arrive très bien à mon sens.
Une solution: faire un faux mouvement de soutien à Bouteflika, rassembler les gens pour manifester même à Alger, à ce moment là la manifestation sera autorisée, puis une fois que tout le monde est réuni se retourner d'un seul coup et envoyer la sauce .....en demandant bien évidemment le départ de ce gouvernement... un tel affront devant toutes les caméras nationales et internationales serait un coup de génie..
Pas possible ?? Regardez cette vidéo, au départ tous les manifestants telechargent un fichier mp3, et au jour dit, et à l'instant prévu tous executent les instructions dictées dans ce fichiers...ils ne se connaissent pas entre eux,ne se fréquentent pas ont des vies totalement différrentes et pourtant ça marche,et eux n'ont aucune motivation que celle de passer un moment:
L 'Algérie ne doit plus être la captive de ces pirates, elle n'appartient pas non plus à ces faux-moudjahid et enfants de martyrs,qu'ils soient vrais ou faux. Si des gens sont morts pour la patrie, c' est bien pour la patrie toute entière et pas seulement pour leur famille propre.
Je ne comprends pas non plus pourquoi on s'acharne à faire la manifestations à Alger, est-ce à dire que les 47 autres wilayas du pays n'existent pas sans Alger ? Les grandes avancées du pays se sont crées principalement à Sétif, Constantine, Bejaia, El kseur, Batna bien plus qu'à Alger qui n'a fait que suivre ce qui commençait ailleurs. Le gouvernement pourrait-il développer 30 000 gendarmes et policiers dans toutes les wilayas du pays ? ....Hum, 30 000x48=1 440 000 forces de l'ordre ..
Ce gouvernement s'ingénie (sans trop se forcer vue que les algériens s'entendent très mal entre eux) à pourrir le sens originel des manifestations, afin de tourner en ridicule les mouvements politiques d'opposition, en employant divers moyens de subversion, et il y arrive très bien à mon sens.
Une solution: faire un faux mouvement de soutien à Bouteflika, rassembler les gens pour manifester même à Alger, à ce moment là la manifestation sera autorisée, puis une fois que tout le monde est réuni se retourner d'un seul coup et envoyer la sauce .....en demandant bien évidemment le départ de ce gouvernement... un tel affront devant toutes les caméras nationales et internationales serait un coup de génie..
Pas possible ?? Regardez cette vidéo, au départ tous les manifestants telechargent un fichier mp3, et au jour dit, et à l'instant prévu tous executent les instructions dictées dans ce fichiers...ils ne se connaissent pas entre eux,ne se fréquentent pas ont des vies totalement différrentes et pourtant ça marche,et eux n'ont aucune motivation que celle de passer un moment:
Incognito- Bavard
- Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 18/01/2011
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Information receuillies des journaux Algérien.
Actualité (Dimanche 27 Février 2011)
Après l’empêchement de sa marche hier à alger, CNCD : “Nous reviendrons”
Dès les premières heures de la matinée, la place des Martyrs est complètement cernée par la police. Sa grande esplanade, elle, est totalement barricadée par des barrières et des policiers.
Première marche après la levée de l’état d’urgence, énième violation en Algérie du droit des citoyens à manifester. Moins de 48 heures après la publication de la décision au Journal officiel, les policiers ont durement empêché, pour la quatrième fois en un mois, une manifestation initiée par l’opposition. Et, comme avant la levée de l’état d’urgence, le même dispositif sécuritaire impressionnant est encore une fois déployé par les autorités pour empêcher l’action des partisans de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), qualifiés par le ministre des Affaires étrangères, il y a quelques jours sur Europe 1, de “minoritaires”, à battre le pavé de la rue algéroise. Et, comme si cela ne suffisait pas, l’on a mobilisé une nouvelle fois quelques jeunes désœuvrés et, nouvelle trouvaille, même une flopée de filles des rues. Deux d’entre elles, dont une enceinte, se baladaient au milieu des manifestants, les provoquant et les narguant, pendant que d’autres insultaient copieusement certaines figures de la CNCD.
Dès les premières heures de la matinée, la place des Martyrs est complètement cernée par la police. Sa grande esplanade, elle, est totalement barricadée par des barrières et des policiers. Des groupes de policiers à côté de leurs camions prenaient position çà et là tout le long de l’itinéraire que devaient prendre les marcheurs. Le décor était ainsi planté : même sans l’état d’urgence, le régime algérien n’entendait pas laisser l’opposition investir la rue au risque de voir se réaliser sur la terre algérienne un scénario à la tunisienne ou à l’égyptienne. Le satisfecit exprimé par les Français et les Américains suite aux mesures prises lors du dernier conseil lui a-t-il donné des ailes ? Probable.
Et, à peine les partisans de la CNCD ont-ils eu le temps, vers 10 heures, de prendre à défaut le dispositif sécuritaire, à quelques pas de la mosquée Djamaâ El-Kebir, qu’une nuée de policiers intervient pour les pousser énergiquement vers le trottoir. Encerclés entre des 4X4 stationnés sur le bord de la chaussée, les militants du changement, parmi eux Saïd Sadi, entonnaient leur slogan “Algérie libre et démocratique”. “On n’est pas des criminels, nous avons le droit de marcher”, s’époumonait une jeune fille. “Où est la levée de l’état d’urgence de Bouteflika ?”, s’est exclamé le président du RCD pris en sandwich par des policiers le repoussant violemment avec leurs boucliers.
“Ce n’est pas vrai, ils vont le tuer, laissez-le passer”, criait un homme d’un certain âge à la face des policiers avant de s’adresser, apitoyé, à Saïd Sadi : “Veux-tu qu’on te ramène de l’eau ?” Dans ce cafouillage indescriptible, le leader du RCD a réussi à grimper sur le toit d’un véhicule de police en faisant avec ses doigts le V de la victoire. Des “Pouvoir assassin” fusaient de la masse des manifestants. Les policiers interviennent énergiquement en traînant avec une rare violence Saïd Sadi et un de ses gardes de corps. “Vous n’avez pas honte de vous attaquer à Saïd Sadi”, s’écriait avec une voix larmoyante une femme. Scandalisé par la brutalité policière, un homme d’un certain âge vociférait : “C’est pire que l’état de siège. La police n’est pas au service du peuple. En 1994, c’était nous qui vous protégions contre les terroristes et maintenant vous vous retournez contre nous. Vous êtes des amnésiques”.“Ils ont pris Saïd Sadi”, hurlait Mohcine Bellabès. Les manifestants tentaient de passer à travers l’essaim de policiers qui les ont encerclés mais rien n’y fit. Ils n’avaient que leur voix pour bombarder leurs “anges gardiens” de leurs mots d’ordre “Le peuple veut faire chuter le régime”, “Algérie libre et démocratique”... tout en entonnant le fameux chant patriotique des révolutionnaires d’hier “de nos montagnes… se sacrifier pour la patrie est préférable à la vie”. Le député Mohamed Khendaq, qui essayait de protéger son président, a fait les frais de cette intervention musclée de la police. Ayant reçu quelques coups, il a perdu connaissance et a été évacué vers l’hôpital.
“Allez, boutez-les tous hors d’ici”, crie un officier à ses éléments. Avec une rare force, Ali Yahia Abdenour, Saïd Sadi, Arezki Aït Larbi et un groupe de partisans ont été repoussés vers la rampe de la Pêcherie. Les accès de la rampe étant bouchés, en haut et en bas, par les policiers, les figures de proue de la CNCD sont retenues sur une partie de l’escalier, qui est une véritable porcherie, sentant fort l’odeur âcre de l’urine. Très malade, le vieil Ali Yahia refusait de faire de déclaration. “Allez-y faire parler les policiers”, recommandait-il.
Un jeune islamiste en djellaba s’égosillait devant les caméras : “On n’en veut pas de ce système et il tombera immanquablement. Peuples libyen, tunisien et égyptien, sachez que nous sommes avec vous”.
En haut, sur la chaussée, les partisans de la CNCD tentaient, par intermittence, de former des rassemblements qui sont vite dispersés par les policiers qui les repoussaient du côté de l’APN. “Ayant senti un piège, nous avons résisté à la charge des policiers”, assurait Me Fetta Sadat. En effet, c’est de ce côté-là qu’est arrivé le groupe de jeunes gens qui brandissaient des portraits de Bouteflika. Dans une ambiance de stade, ils sautillaient et chantonnaient, entre autres refrains, des “Allahou Akbar, charika gadra”, tout en reprenant cette fois-ci encore le fameux “Le peuple veut du cannabis”. Un contre-manifestant arborait une pancarte sur laquelle était écrit “Les Algériens sont des partisans de Bouteflika et ne veulent pas d’une Coordination des intéressés”. Sur l’autre trottoir, les manifestants, eux, sont étouffés par les policiers.
“C’est grave, Alger, capitale du pays, est devenue une houma”, s’indignait un manifestant. Un vieux, s’adressant à un policier qui le sommait de déguerpir, se rebiffe, “emmenez-nous en prison ou jetez-nous à la mer. Ceux d’en face (les contre-manifestants, ndlr) vous les protégez et nous, vous nous chargez”. Commentaire d’un autre vieux non loin de lui : “Ils sont payés yal hadj”. Sollicité pour commenter la levée de l’état d’urgence décidée par le chef de l’État, M. Chentouf du PLD assure : “C’est une mesure bidon, une tromperie”. Que pense-t-il de l’action de la CNCD ? “C’est une réussite dans la mesure où le pouvoir a mobilisé tout ce dispositif policier pour nous empêcher d’organiser notre marche. Qu’il respecte le droit de manifester et ce sont tous les Algérois qui vont sortir dans la rue”. Face aux médias, Saïd Sadi a lancé cette phrase pleine de détermination : “Nous serons ici autant de fois qu’il faudra jusqu’à ce que le peuple algérien puisse marcher librement dans son pays et faire en sorte à ce qu’il puisse choisir librement et démocratiquement ses dirigeants”.
Actualité (Dimanche 27 Février 2011)
Après l’empêchement de sa marche hier à alger, CNCD : “Nous reviendrons”
Dès les premières heures de la matinée, la place des Martyrs est complètement cernée par la police. Sa grande esplanade, elle, est totalement barricadée par des barrières et des policiers.
Première marche après la levée de l’état d’urgence, énième violation en Algérie du droit des citoyens à manifester. Moins de 48 heures après la publication de la décision au Journal officiel, les policiers ont durement empêché, pour la quatrième fois en un mois, une manifestation initiée par l’opposition. Et, comme avant la levée de l’état d’urgence, le même dispositif sécuritaire impressionnant est encore une fois déployé par les autorités pour empêcher l’action des partisans de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), qualifiés par le ministre des Affaires étrangères, il y a quelques jours sur Europe 1, de “minoritaires”, à battre le pavé de la rue algéroise. Et, comme si cela ne suffisait pas, l’on a mobilisé une nouvelle fois quelques jeunes désœuvrés et, nouvelle trouvaille, même une flopée de filles des rues. Deux d’entre elles, dont une enceinte, se baladaient au milieu des manifestants, les provoquant et les narguant, pendant que d’autres insultaient copieusement certaines figures de la CNCD.
Dès les premières heures de la matinée, la place des Martyrs est complètement cernée par la police. Sa grande esplanade, elle, est totalement barricadée par des barrières et des policiers. Des groupes de policiers à côté de leurs camions prenaient position çà et là tout le long de l’itinéraire que devaient prendre les marcheurs. Le décor était ainsi planté : même sans l’état d’urgence, le régime algérien n’entendait pas laisser l’opposition investir la rue au risque de voir se réaliser sur la terre algérienne un scénario à la tunisienne ou à l’égyptienne. Le satisfecit exprimé par les Français et les Américains suite aux mesures prises lors du dernier conseil lui a-t-il donné des ailes ? Probable.
Et, à peine les partisans de la CNCD ont-ils eu le temps, vers 10 heures, de prendre à défaut le dispositif sécuritaire, à quelques pas de la mosquée Djamaâ El-Kebir, qu’une nuée de policiers intervient pour les pousser énergiquement vers le trottoir. Encerclés entre des 4X4 stationnés sur le bord de la chaussée, les militants du changement, parmi eux Saïd Sadi, entonnaient leur slogan “Algérie libre et démocratique”. “On n’est pas des criminels, nous avons le droit de marcher”, s’époumonait une jeune fille. “Où est la levée de l’état d’urgence de Bouteflika ?”, s’est exclamé le président du RCD pris en sandwich par des policiers le repoussant violemment avec leurs boucliers.
“Ce n’est pas vrai, ils vont le tuer, laissez-le passer”, criait un homme d’un certain âge à la face des policiers avant de s’adresser, apitoyé, à Saïd Sadi : “Veux-tu qu’on te ramène de l’eau ?” Dans ce cafouillage indescriptible, le leader du RCD a réussi à grimper sur le toit d’un véhicule de police en faisant avec ses doigts le V de la victoire. Des “Pouvoir assassin” fusaient de la masse des manifestants. Les policiers interviennent énergiquement en traînant avec une rare violence Saïd Sadi et un de ses gardes de corps. “Vous n’avez pas honte de vous attaquer à Saïd Sadi”, s’écriait avec une voix larmoyante une femme. Scandalisé par la brutalité policière, un homme d’un certain âge vociférait : “C’est pire que l’état de siège. La police n’est pas au service du peuple. En 1994, c’était nous qui vous protégions contre les terroristes et maintenant vous vous retournez contre nous. Vous êtes des amnésiques”.“Ils ont pris Saïd Sadi”, hurlait Mohcine Bellabès. Les manifestants tentaient de passer à travers l’essaim de policiers qui les ont encerclés mais rien n’y fit. Ils n’avaient que leur voix pour bombarder leurs “anges gardiens” de leurs mots d’ordre “Le peuple veut faire chuter le régime”, “Algérie libre et démocratique”... tout en entonnant le fameux chant patriotique des révolutionnaires d’hier “de nos montagnes… se sacrifier pour la patrie est préférable à la vie”. Le député Mohamed Khendaq, qui essayait de protéger son président, a fait les frais de cette intervention musclée de la police. Ayant reçu quelques coups, il a perdu connaissance et a été évacué vers l’hôpital.
“Allez, boutez-les tous hors d’ici”, crie un officier à ses éléments. Avec une rare force, Ali Yahia Abdenour, Saïd Sadi, Arezki Aït Larbi et un groupe de partisans ont été repoussés vers la rampe de la Pêcherie. Les accès de la rampe étant bouchés, en haut et en bas, par les policiers, les figures de proue de la CNCD sont retenues sur une partie de l’escalier, qui est une véritable porcherie, sentant fort l’odeur âcre de l’urine. Très malade, le vieil Ali Yahia refusait de faire de déclaration. “Allez-y faire parler les policiers”, recommandait-il.
Un jeune islamiste en djellaba s’égosillait devant les caméras : “On n’en veut pas de ce système et il tombera immanquablement. Peuples libyen, tunisien et égyptien, sachez que nous sommes avec vous”.
En haut, sur la chaussée, les partisans de la CNCD tentaient, par intermittence, de former des rassemblements qui sont vite dispersés par les policiers qui les repoussaient du côté de l’APN. “Ayant senti un piège, nous avons résisté à la charge des policiers”, assurait Me Fetta Sadat. En effet, c’est de ce côté-là qu’est arrivé le groupe de jeunes gens qui brandissaient des portraits de Bouteflika. Dans une ambiance de stade, ils sautillaient et chantonnaient, entre autres refrains, des “Allahou Akbar, charika gadra”, tout en reprenant cette fois-ci encore le fameux “Le peuple veut du cannabis”. Un contre-manifestant arborait une pancarte sur laquelle était écrit “Les Algériens sont des partisans de Bouteflika et ne veulent pas d’une Coordination des intéressés”. Sur l’autre trottoir, les manifestants, eux, sont étouffés par les policiers.
“C’est grave, Alger, capitale du pays, est devenue une houma”, s’indignait un manifestant. Un vieux, s’adressant à un policier qui le sommait de déguerpir, se rebiffe, “emmenez-nous en prison ou jetez-nous à la mer. Ceux d’en face (les contre-manifestants, ndlr) vous les protégez et nous, vous nous chargez”. Commentaire d’un autre vieux non loin de lui : “Ils sont payés yal hadj”. Sollicité pour commenter la levée de l’état d’urgence décidée par le chef de l’État, M. Chentouf du PLD assure : “C’est une mesure bidon, une tromperie”. Que pense-t-il de l’action de la CNCD ? “C’est une réussite dans la mesure où le pouvoir a mobilisé tout ce dispositif policier pour nous empêcher d’organiser notre marche. Qu’il respecte le droit de manifester et ce sont tous les Algérois qui vont sortir dans la rue”. Face aux médias, Saïd Sadi a lancé cette phrase pleine de détermination : “Nous serons ici autant de fois qu’il faudra jusqu’à ce que le peuple algérien puisse marcher librement dans son pays et faire en sorte à ce qu’il puisse choisir librement et démocratiquement ses dirigeants”.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Information receuillies des journaux et radios Algériennes.
CNCD: Boumala jette l’eponge, la marche interdite.
La marche d'aujourd'hui à Alger, à partir de la Place des Martyrs, à laquelle a appelé «une aille» de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (Cncd) aura-t-elle lieu? Au lendemain de la levée de l'état d'urgence, le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia, a tranché la question.
26 Février 2011, Le Courrier d'Algérie
Outre qu'il a affirmé qu'aucune demande d'autorisation n'a été déposée auprès des services de la wilaya d'Alger, le ministre de l'Intérieur est catégorique : «Les marches à Alger sont interdites» Les initiateurs de la marche qui devrait s'ébranler de la Place des Martyrs misent sur la mobilisation citoyenne pour réussir leur action.
Un pari qui paraît difficile à réaliser d'autant que la Cncd s'est scindée en deux : une aille regroupant les partis politiques (RCD et PLD, les étudiants et, Me Ali Yahia Abdenour) et celle composée par les syndicats autonomes, soient le Comité national pour la défense des droits des chômeurs et la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme (Laddh). La division de la Cncd en deux ne fera qu'affaiblir son action.
Joint hier par téléphone, Fodil Boumala, un des fondateurs de la Cncd, a estimé que «cette division» ne travaille guère le mouvement.Toutefois, il a refusé de s'inscrire dans la logique de confrontation des deux groupes.
En confirmant sa participation à la marche d'aujourd'hui, Fodil Boumala a refusé que sa présence à la Place des martyrs soit interprétée comme étant un divorce avec l'autre aille de la Cncd. Il a déclaré avoir tout fait pour fédérer les rangs de la Cncd et convaincre les uns et les autres de l'impératif d'un consensus afin de sauver la Coordination de l'effritement avant de démissionner officiellement des rangs de la Cncd.
Cependant, s'il admit que la division des rangs de la Cncd affaiblira son action, il refuse de l'assimiler à l'essoufflement du mouvement. Tant les revendications des initiateurs s'inscrivent dans l'esprit de la Cncd, sa présence à leur côté ne se pose même pas comme question, a-t-il ajouté, préférant défendre une grande cause avec l'ensemble des compatriotes plus que de camper sur sa position qui peut créer un effet boomerang.
Selon lui, l'important ce n'est pas l'existence de deux tendances de la Cncd mais de voir ce que peut faire chacune d'entre elle. Considérant la gravité de la situation du pays et respectant les volontés de l'ensemble des membres des deux Coordinations, il les invite fraternellement à faire de cette «scission» une plusvalue de diversité qui sera actionnée dans le seul sens du changement et de la démocratie et non un renforcement du pouvoir par l'éclatement et l'éloignement de notre but commun.
De son côté, Samir Laârabi, porteparole du Comité national pour la défense des droits des chômeurs (Cnddc), néanmoins membre de la Cncd, a refusé de participer à la marche d'aujourd'hui.
Il a motivé sa décision par la non-prise en charge des revendications des chômeurs par les initiateurs de cette manifestation. Le porte-parole du Cnddc est également contre le principe d'organisation de marches cycliques à Alger. Il a estimé qu'il faut d'abord mobiliser au niveau local à travers l'organisation de conférences et des marches susceptibles de drainer toute les corporations et l'organisation d'une marche à Alger doit être l'aboutissement de toutes ces actions au niveau locale.
Toutefois, Samir Laârabi a condamné toute forme de répression à l'égard des contestataires et contre toute récupération publique le la protesta. «Marcher à Alger reste un droit inaliénable pour tous les citoyens quel le que soit leur appartenance politique» a-t-il conclu. Avec ces nouvelles données, la mobilisation pour la marche d'aujourd'hui sera de mise et ses initiateurs devront certainement en tirer les enseignements et se pencher sur les autres formes de contestation.
DES MEETINGS ET CONFÉRENCES À TRAVERS LE PAYS
L'autre aile de la Cncd, regroupant la Laddh, la Cnddc et des syndicats autonomes, a tenu une réunion, hier, à l'issue de laquelle ses membres ont arrêté un certains nombre d'actions. Son porte parole, Aïssa Rahmoune, parle de changement de stratégie. À partir des jours à venir, la Cncd compte organiser une série de conférences et meetings au niveau national, y compris Alger, autour de la situation socioéconomique du pays, a indiqué Rahmoune Aïssa. La Cncd a ensuite appelé à une marche dans la Capitale, at- il ajouté.
À travers ces actions, la Cncd compte mettre les pouvoirs publics devant le fait accompli. «Le fait de lever l'état d'urgence et de maintenir de l'interdiction des marches à Alger constitue une contradiction kafkaïenne». À noter que le Rassemblement action jeunesse (RAJ) vient d'intégrer cette tendance de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie.
CNCD: Boumala jette l’eponge, la marche interdite.
La marche d'aujourd'hui à Alger, à partir de la Place des Martyrs, à laquelle a appelé «une aille» de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (Cncd) aura-t-elle lieu? Au lendemain de la levée de l'état d'urgence, le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia, a tranché la question.
26 Février 2011, Le Courrier d'Algérie
Outre qu'il a affirmé qu'aucune demande d'autorisation n'a été déposée auprès des services de la wilaya d'Alger, le ministre de l'Intérieur est catégorique : «Les marches à Alger sont interdites» Les initiateurs de la marche qui devrait s'ébranler de la Place des Martyrs misent sur la mobilisation citoyenne pour réussir leur action.
Un pari qui paraît difficile à réaliser d'autant que la Cncd s'est scindée en deux : une aille regroupant les partis politiques (RCD et PLD, les étudiants et, Me Ali Yahia Abdenour) et celle composée par les syndicats autonomes, soient le Comité national pour la défense des droits des chômeurs et la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme (Laddh). La division de la Cncd en deux ne fera qu'affaiblir son action.
Joint hier par téléphone, Fodil Boumala, un des fondateurs de la Cncd, a estimé que «cette division» ne travaille guère le mouvement.Toutefois, il a refusé de s'inscrire dans la logique de confrontation des deux groupes.
En confirmant sa participation à la marche d'aujourd'hui, Fodil Boumala a refusé que sa présence à la Place des martyrs soit interprétée comme étant un divorce avec l'autre aille de la Cncd. Il a déclaré avoir tout fait pour fédérer les rangs de la Cncd et convaincre les uns et les autres de l'impératif d'un consensus afin de sauver la Coordination de l'effritement avant de démissionner officiellement des rangs de la Cncd.
Cependant, s'il admit que la division des rangs de la Cncd affaiblira son action, il refuse de l'assimiler à l'essoufflement du mouvement. Tant les revendications des initiateurs s'inscrivent dans l'esprit de la Cncd, sa présence à leur côté ne se pose même pas comme question, a-t-il ajouté, préférant défendre une grande cause avec l'ensemble des compatriotes plus que de camper sur sa position qui peut créer un effet boomerang.
Selon lui, l'important ce n'est pas l'existence de deux tendances de la Cncd mais de voir ce que peut faire chacune d'entre elle. Considérant la gravité de la situation du pays et respectant les volontés de l'ensemble des membres des deux Coordinations, il les invite fraternellement à faire de cette «scission» une plusvalue de diversité qui sera actionnée dans le seul sens du changement et de la démocratie et non un renforcement du pouvoir par l'éclatement et l'éloignement de notre but commun.
De son côté, Samir Laârabi, porteparole du Comité national pour la défense des droits des chômeurs (Cnddc), néanmoins membre de la Cncd, a refusé de participer à la marche d'aujourd'hui.
Il a motivé sa décision par la non-prise en charge des revendications des chômeurs par les initiateurs de cette manifestation. Le porte-parole du Cnddc est également contre le principe d'organisation de marches cycliques à Alger. Il a estimé qu'il faut d'abord mobiliser au niveau local à travers l'organisation de conférences et des marches susceptibles de drainer toute les corporations et l'organisation d'une marche à Alger doit être l'aboutissement de toutes ces actions au niveau locale.
Toutefois, Samir Laârabi a condamné toute forme de répression à l'égard des contestataires et contre toute récupération publique le la protesta. «Marcher à Alger reste un droit inaliénable pour tous les citoyens quel le que soit leur appartenance politique» a-t-il conclu. Avec ces nouvelles données, la mobilisation pour la marche d'aujourd'hui sera de mise et ses initiateurs devront certainement en tirer les enseignements et se pencher sur les autres formes de contestation.
DES MEETINGS ET CONFÉRENCES À TRAVERS LE PAYS
L'autre aile de la Cncd, regroupant la Laddh, la Cnddc et des syndicats autonomes, a tenu une réunion, hier, à l'issue de laquelle ses membres ont arrêté un certains nombre d'actions. Son porte parole, Aïssa Rahmoune, parle de changement de stratégie. À partir des jours à venir, la Cncd compte organiser une série de conférences et meetings au niveau national, y compris Alger, autour de la situation socioéconomique du pays, a indiqué Rahmoune Aïssa. La Cncd a ensuite appelé à une marche dans la Capitale, at- il ajouté.
À travers ces actions, la Cncd compte mettre les pouvoirs publics devant le fait accompli. «Le fait de lever l'état d'urgence et de maintenir de l'interdiction des marches à Alger constitue une contradiction kafkaïenne». À noter que le Rassemblement action jeunesse (RAJ) vient d'intégrer cette tendance de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Information receuillies des journaux et radios Algériennes.
Ban Ki-moon : «Les peuples doivent exercer leur droit à l'autodétermination»
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki- moon, a exhorté la communauté internationale à éliminer «immédiatement et complètement» le colonialisme sous toutes ses formes, en insistant sur le droit des peuples des territoires non autonomes à exercer leur droit à l'autodétermination.
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki- moon, a exhorté la communauté internationale à éliminer «immédiatement et complètement» le colonialisme sous toutes ses formes, en insistant sur le droit des peuples des territoires non autonomes à exercer leur droit à l'autodétermination. Intervenant lors de la session 2011 du Comité spécial de l'ONU sur la décolonisation à New York, jeudi, le chef de l'ONU a déclaré que les situations coloniales étaient «totalement dépassées», ajoutant que «l'achèvement du processus de décolonisation nécessitera des efforts concertés de toutes les parties concernées», soit le Comité spécial, les puissances administrantes et les peuples des territoires non autonomes. Actuellement, il reste 16 territoires non autonomes qui sont le Sahara occidental, Anguilla, les Bermudes, Gibraltar, Guam, les Iles Caîmans, les Malouines, les Iles Turques et Caîques, les Iles Vierges américaines, les Iles Vierges britanniques, Montserrat, la Nouvelle-Calédonie, Pitcairn, Sainte-Hélène, les Samoa américaines et les Tokélaou. Rappelant le droit des peuples des territoires non autonomes à exercer leur droit à l'autodétermination, Ban Ki -moon a souligné dans son intervention «l'importance capitale de la poursuite du dialogue visant à améliorer la coopération entre le Comité spécial et les puissances administrantes» . Créé en 1961, après la déclaration de 1960 sur l'octroi de l'indépendance aux pays et peuples coloniaux, qui réaffirme le droit de tous les peuples à l'autodétermination et proclame que le colonialisme doit connaître une fin rapide et inconditionnelle, le Comité spécial de l'ONU rassemble 25 Etats membres chargé de faire avancer ce processus. Le chef de l'ONU a salué le « rôle crucial» tenu par cet organe intergouvernemental exclusivement dédié à la décolonisation, estimant qu'il devait désormais « évaluer ses travaux et réalisations passés, afin de tracer une voie à suivre, en collaboration avec les puissances administrantes, pour le bénéfice ultime des peuples». Au moment de la création de l'ONU en 1945, 750 millions de personnes -près d'un tiers de la population mondiale- vivaient dans les territoires non autonomes. Ils sont moins de 2 millions à l'heure actuelle. «Aujourd'hui, 16 territoires non autonomes demeurent sur la liste, attendant des initiatives constructives, axées sur la recherche d'un résultat», a-t-il déclaré, avant d'estimer que ceux-ci devaient «avoir la possibilité d'exercer leur droit à l'autodétermination afin que les intérêts de leurs peuples soient complètement pris en compte». «Les situations coloniales sont totalement dépassées et doivent être réglées avec une vigueur renouvelée et de la créativité. Je garde l'espoir que les difficultés rencontrées ces dernières années seront graduellement dépassées, afin que le Comité développe des méthodes efficaces formelles et informelles qui aideront à accomplir son mandat», a-t-il conclu. En vertu de l'Article 73 de la Charte des Nations unies, les puissances administrantes des territoires non autonomes ont pour obligation primordiale de favoriser la prospérité des habitants de ces territoires et d'améliorer leur situation socioéconomique. A cette fin, et pour mener à bien le processus de décolonisation, elles sont aussi encouragées à coopérer avec l'ONU et les organes chargés d'aider les peuples à exercer leur droit à l'autodétermination. Depuis 1945, plus de 80 nations, dont les peuples vivaient sous la domination coloniale, ont adhéré à l'ONU en tant qu'Etats souverains et indépendants.
Ban Ki-moon : «Les peuples doivent exercer leur droit à l'autodétermination»
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki- moon, a exhorté la communauté internationale à éliminer «immédiatement et complètement» le colonialisme sous toutes ses formes, en insistant sur le droit des peuples des territoires non autonomes à exercer leur droit à l'autodétermination.
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki- moon, a exhorté la communauté internationale à éliminer «immédiatement et complètement» le colonialisme sous toutes ses formes, en insistant sur le droit des peuples des territoires non autonomes à exercer leur droit à l'autodétermination. Intervenant lors de la session 2011 du Comité spécial de l'ONU sur la décolonisation à New York, jeudi, le chef de l'ONU a déclaré que les situations coloniales étaient «totalement dépassées», ajoutant que «l'achèvement du processus de décolonisation nécessitera des efforts concertés de toutes les parties concernées», soit le Comité spécial, les puissances administrantes et les peuples des territoires non autonomes. Actuellement, il reste 16 territoires non autonomes qui sont le Sahara occidental, Anguilla, les Bermudes, Gibraltar, Guam, les Iles Caîmans, les Malouines, les Iles Turques et Caîques, les Iles Vierges américaines, les Iles Vierges britanniques, Montserrat, la Nouvelle-Calédonie, Pitcairn, Sainte-Hélène, les Samoa américaines et les Tokélaou. Rappelant le droit des peuples des territoires non autonomes à exercer leur droit à l'autodétermination, Ban Ki -moon a souligné dans son intervention «l'importance capitale de la poursuite du dialogue visant à améliorer la coopération entre le Comité spécial et les puissances administrantes» . Créé en 1961, après la déclaration de 1960 sur l'octroi de l'indépendance aux pays et peuples coloniaux, qui réaffirme le droit de tous les peuples à l'autodétermination et proclame que le colonialisme doit connaître une fin rapide et inconditionnelle, le Comité spécial de l'ONU rassemble 25 Etats membres chargé de faire avancer ce processus. Le chef de l'ONU a salué le « rôle crucial» tenu par cet organe intergouvernemental exclusivement dédié à la décolonisation, estimant qu'il devait désormais « évaluer ses travaux et réalisations passés, afin de tracer une voie à suivre, en collaboration avec les puissances administrantes, pour le bénéfice ultime des peuples». Au moment de la création de l'ONU en 1945, 750 millions de personnes -près d'un tiers de la population mondiale- vivaient dans les territoires non autonomes. Ils sont moins de 2 millions à l'heure actuelle. «Aujourd'hui, 16 territoires non autonomes demeurent sur la liste, attendant des initiatives constructives, axées sur la recherche d'un résultat», a-t-il déclaré, avant d'estimer que ceux-ci devaient «avoir la possibilité d'exercer leur droit à l'autodétermination afin que les intérêts de leurs peuples soient complètement pris en compte». «Les situations coloniales sont totalement dépassées et doivent être réglées avec une vigueur renouvelée et de la créativité. Je garde l'espoir que les difficultés rencontrées ces dernières années seront graduellement dépassées, afin que le Comité développe des méthodes efficaces formelles et informelles qui aideront à accomplir son mandat», a-t-il conclu. En vertu de l'Article 73 de la Charte des Nations unies, les puissances administrantes des territoires non autonomes ont pour obligation primordiale de favoriser la prospérité des habitants de ces territoires et d'améliorer leur situation socioéconomique. A cette fin, et pour mener à bien le processus de décolonisation, elles sont aussi encouragées à coopérer avec l'ONU et les organes chargés d'aider les peuples à exercer leur droit à l'autodétermination. Depuis 1945, plus de 80 nations, dont les peuples vivaient sous la domination coloniale, ont adhéré à l'ONU en tant qu'Etats souverains et indépendants.
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Information receuillies des journaux et radios Algériennes.
60 000 locaux pour les jeunes.
Dans un entretien accordé à la Chaîne III de la Radio nationale dont il était l’invité de la rédaction, Dahou Ould Kablia, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, a rappelé les conditions particulières dans lesquelles l’état d’urgence a été instauré.
Dans un entretien accordé à la Chaîne III de la Radio nationale dont il était l’invité de la rédaction, Dahou Ould Kablia, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, a rappelé les conditions particulières dans lesquelles l’état d’urgence a été instauré. Il y avait péril du fait du débordement d’un parti politique (allusion à l’ex-FIS) qui, après sa dissolution, s’est transformé en groupe subversif organisé et armé, et a lancé des actions de caractère militaire contre les populations ou contre les biens, et surtout contre les forces de sécurité. Aujourd’hui, a-t-il annoncé, la lutte antiterroriste est menée sur la base d’une action de coordination qui est centralisée au niveau de l’état-major général. Ce qui va disparaître avec l’état d’urgence, a-t-il ajouté, ce sont : la réquisition par l’autorité civile de l’armée, les perquisitions de nuit et les barrages tenus par des militaires. Il a souligné que des personnes qui ne sont pas très impliquées dans des affaires de terrorisme ou qui apportent leur concours à l’armée peuvent être protégées et être mises en état de disposition vis-à-vis des forces de sécurité, soit pour complément d’informations soit pour les soustraire à une quelconque activité de vengeance ou parce qu’elles sont ciblées par des terroristes. «On a souvent reproché aux services de renseignements militaires de détenir des personnes pendant des périodes indéterminées à l’insu de toute autorité, surtout à l’insu de leurs familles ou de leurs avocats. Le fait que ces personnes soient placées en état de surveillance sous l’égide d’une autorité judiciaire offre des garanties», a fait remarquer M. Ould Kablia. A propos des mesures attendues après la levée de l’état d’urgence, nous y allons graduellement, a-t-il déclaré, il y a l’autorisation d’accès aux médias mais pas d’agrément de nouveaux partis politiques pour le moment, quant aux réunions, elles sont libres sous réserve de présenter un dossier réglementaire et les marches sont soumises à autorisation et doivent offrir des garanties. Pour Alger, il confirme qu’il n’y a pas d’autorisation de marches, notamment pour ne pas perturber la tranquillité des riverains surtout un week-end. «Cela nous oblige à mettre en œuvre des moyens de protection en créant des barrières entre les habitants de Belcourt et d’El-Madania, et les initiateurs de la marche. Si nous n’avions pas mis des barrages entre eux, il y aurait eu des incidents extrêmement graves», a-t-il souligné. De plus, a-t-il fait observer, les commerçants ont demandé à ce qu’ils ne soient pas dérangés par les marches. A propos des marches des 12 et 19 février, il estime qu’elles n’étaient pas encadrées et que «les personnes conviées à ces marches appartiennent à des milieux différents et sont d’origine différentes. Il n’y avait apparemment pas d’unité tactique ou stratégique au niveau de ces marches», ajoute-t-il. A propos de la marche du samedi 26 février, il fait savoir qu’aucune demande n’a été déposée et que «les initiateurs de cette marche, qui sont de courants différents, sont en train de briser l’unanimité de façade qu’ils avaient présentée jusque-là». Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a commenté les informations sur les violences qu’auraient subies les étudiants contestataires qui sont restés devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur pendant plusieurs jours, avec des policiers en face, qui étaient là pour protéger un bâtiment public. Ces étudiants ont voulu détériorer les grilles du ministère pour y accéder, a-t-il dit. Il a fait savoir que l’étudiant qui s’est plaint de brutalités policières serait tombé en tentant d’escalader la grille. Si la violence de policiers est établie et si elle n’avait pas de raison d’être, ils seront sanctionnés, a-t-il dit. Par ailleurs, M. Ould Kablia a fait savoir que le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a été chargé de limiter au maximum le nombre de pièces qui doivent être exigées pour n’importe quel dossier et plus de célérité pour avoir un document, les moyens seront mis en place dans ce but. Le certificat de nationalité ne sera plus exigé quand on a une carte d’identité nationale ou un passeport, ajoute-t-il. A propos de corruption, il appelle les citoyens à dénoncer les corrupteurs. Enfin, pour l’informel, il annonce que les jeunes qui vendent sur les trottoirs quitteront ces trottoirs et n’occuperont plus la voie publique, 60 000 locaux seront versés à l’activité commerciale pour ces jeunes.
60 000 locaux pour les jeunes.
Dans un entretien accordé à la Chaîne III de la Radio nationale dont il était l’invité de la rédaction, Dahou Ould Kablia, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, a rappelé les conditions particulières dans lesquelles l’état d’urgence a été instauré.
Dans un entretien accordé à la Chaîne III de la Radio nationale dont il était l’invité de la rédaction, Dahou Ould Kablia, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, a rappelé les conditions particulières dans lesquelles l’état d’urgence a été instauré. Il y avait péril du fait du débordement d’un parti politique (allusion à l’ex-FIS) qui, après sa dissolution, s’est transformé en groupe subversif organisé et armé, et a lancé des actions de caractère militaire contre les populations ou contre les biens, et surtout contre les forces de sécurité. Aujourd’hui, a-t-il annoncé, la lutte antiterroriste est menée sur la base d’une action de coordination qui est centralisée au niveau de l’état-major général. Ce qui va disparaître avec l’état d’urgence, a-t-il ajouté, ce sont : la réquisition par l’autorité civile de l’armée, les perquisitions de nuit et les barrages tenus par des militaires. Il a souligné que des personnes qui ne sont pas très impliquées dans des affaires de terrorisme ou qui apportent leur concours à l’armée peuvent être protégées et être mises en état de disposition vis-à-vis des forces de sécurité, soit pour complément d’informations soit pour les soustraire à une quelconque activité de vengeance ou parce qu’elles sont ciblées par des terroristes. «On a souvent reproché aux services de renseignements militaires de détenir des personnes pendant des périodes indéterminées à l’insu de toute autorité, surtout à l’insu de leurs familles ou de leurs avocats. Le fait que ces personnes soient placées en état de surveillance sous l’égide d’une autorité judiciaire offre des garanties», a fait remarquer M. Ould Kablia. A propos des mesures attendues après la levée de l’état d’urgence, nous y allons graduellement, a-t-il déclaré, il y a l’autorisation d’accès aux médias mais pas d’agrément de nouveaux partis politiques pour le moment, quant aux réunions, elles sont libres sous réserve de présenter un dossier réglementaire et les marches sont soumises à autorisation et doivent offrir des garanties. Pour Alger, il confirme qu’il n’y a pas d’autorisation de marches, notamment pour ne pas perturber la tranquillité des riverains surtout un week-end. «Cela nous oblige à mettre en œuvre des moyens de protection en créant des barrières entre les habitants de Belcourt et d’El-Madania, et les initiateurs de la marche. Si nous n’avions pas mis des barrages entre eux, il y aurait eu des incidents extrêmement graves», a-t-il souligné. De plus, a-t-il fait observer, les commerçants ont demandé à ce qu’ils ne soient pas dérangés par les marches. A propos des marches des 12 et 19 février, il estime qu’elles n’étaient pas encadrées et que «les personnes conviées à ces marches appartiennent à des milieux différents et sont d’origine différentes. Il n’y avait apparemment pas d’unité tactique ou stratégique au niveau de ces marches», ajoute-t-il. A propos de la marche du samedi 26 février, il fait savoir qu’aucune demande n’a été déposée et que «les initiateurs de cette marche, qui sont de courants différents, sont en train de briser l’unanimité de façade qu’ils avaient présentée jusque-là». Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a commenté les informations sur les violences qu’auraient subies les étudiants contestataires qui sont restés devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur pendant plusieurs jours, avec des policiers en face, qui étaient là pour protéger un bâtiment public. Ces étudiants ont voulu détériorer les grilles du ministère pour y accéder, a-t-il dit. Il a fait savoir que l’étudiant qui s’est plaint de brutalités policières serait tombé en tentant d’escalader la grille. Si la violence de policiers est établie et si elle n’avait pas de raison d’être, ils seront sanctionnés, a-t-il dit. Par ailleurs, M. Ould Kablia a fait savoir que le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a été chargé de limiter au maximum le nombre de pièces qui doivent être exigées pour n’importe quel dossier et plus de célérité pour avoir un document, les moyens seront mis en place dans ce but. Le certificat de nationalité ne sera plus exigé quand on a une carte d’identité nationale ou un passeport, ajoute-t-il. A propos de corruption, il appelle les citoyens à dénoncer les corrupteurs. Enfin, pour l’informel, il annonce que les jeunes qui vendent sur les trottoirs quitteront ces trottoirs et n’occuperont plus la voie publique, 60 000 locaux seront versés à l’activité commerciale pour ces jeunes.
Dernière édition par Said B le Sam 26 Fév 2011, 19:11, édité 1 fois
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Re: Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Information receuillies des journaux et radios Algériennes.
Le P-DG de Sonelgaz rassure : «Pas d’augmentation des prix de l’électricité et du gaz»
«Il n’y aura pas d’augmentation des prix de l’électricité et du gaz après les dernières mesures annoncées par le conseil des ministres relatives au financement de l’investissement», a affirmé, jeudi à Alger, le PDG du groupe Sonelgaz, Noureddine Bouterfa.
«Il n’y aura pas d’augmentation des prix de l’électricité et du gaz après les dernières mesures annoncées par le conseil des ministres relatives au financement de l’investissement», a affirmé, jeudi à Alger, le PDG du groupe Sonelgaz, Noureddine Bouterfa. Dans une déclaration à la Radio nationale (Chaîne II), M. Bouterfa a indiqué qu’un «compromis avec le gouvernement a été trouvé», avant d’ajouter que le groupe comptait auparavant sur «le relèvement de ces prix» pour couvrir ses besoins d’investissement. «Le Trésor a été chargé de mettre à notre disposition (les entreprises, ndlr) une ligne de crédits sur vingt ans, ce qui va nous garantir le financement de notre programme d’investissement», a-t-il souligné. Dès lors, «il n’y a donc aucun besoin pour demander une augmentation des prix» de l’électricité et du gaz, a reconnu M. Bouterfa. Par ailleurs, selon lui, les créances du groupe s’établissent à 47 milliards de dinars, alors que l’utilisation illicite d’électricité ou le «vol d’électricité» coûte à l’entreprise entre 8 et 10 milliards de DA par an. Evoquant le plan national des énergies nouvelles et renouvelables, adopté également par le Conseil des ministres, et dont Sonelgaz est chargée de sa mise en œuvre, M. Bouterfa a souligné que sur les 200 000 emplois directs et indirects qui seront générés par ce programme, «la moitié profitera aux PME et aux micro-entreprises». L’usine de production des panneaux photovoltaïques de Rouiba, dont la réalisation a été récemment attribuée par voie d’appel d’offres à une société allemande, va créer à elle seule «600 emplois permanents», selon le même responsable. Il a annoncé, d’autre part, qu’à partir de «cette année, le volet transport d’électricité, que ce soit le montage d’équipements ou la réalisation, sera exclusivement réservé aux entreprises algériennes» , affirmant que «des mesures radicales seront prises au profit de l’emploi en Algérie».
Le P-DG de Sonelgaz rassure : «Pas d’augmentation des prix de l’électricité et du gaz»
«Il n’y aura pas d’augmentation des prix de l’électricité et du gaz après les dernières mesures annoncées par le conseil des ministres relatives au financement de l’investissement», a affirmé, jeudi à Alger, le PDG du groupe Sonelgaz, Noureddine Bouterfa.
«Il n’y aura pas d’augmentation des prix de l’électricité et du gaz après les dernières mesures annoncées par le conseil des ministres relatives au financement de l’investissement», a affirmé, jeudi à Alger, le PDG du groupe Sonelgaz, Noureddine Bouterfa. Dans une déclaration à la Radio nationale (Chaîne II), M. Bouterfa a indiqué qu’un «compromis avec le gouvernement a été trouvé», avant d’ajouter que le groupe comptait auparavant sur «le relèvement de ces prix» pour couvrir ses besoins d’investissement. «Le Trésor a été chargé de mettre à notre disposition (les entreprises, ndlr) une ligne de crédits sur vingt ans, ce qui va nous garantir le financement de notre programme d’investissement», a-t-il souligné. Dès lors, «il n’y a donc aucun besoin pour demander une augmentation des prix» de l’électricité et du gaz, a reconnu M. Bouterfa. Par ailleurs, selon lui, les créances du groupe s’établissent à 47 milliards de dinars, alors que l’utilisation illicite d’électricité ou le «vol d’électricité» coûte à l’entreprise entre 8 et 10 milliards de DA par an. Evoquant le plan national des énergies nouvelles et renouvelables, adopté également par le Conseil des ministres, et dont Sonelgaz est chargée de sa mise en œuvre, M. Bouterfa a souligné que sur les 200 000 emplois directs et indirects qui seront générés par ce programme, «la moitié profitera aux PME et aux micro-entreprises». L’usine de production des panneaux photovoltaïques de Rouiba, dont la réalisation a été récemment attribuée par voie d’appel d’offres à une société allemande, va créer à elle seule «600 emplois permanents», selon le même responsable. Il a annoncé, d’autre part, qu’à partir de «cette année, le volet transport d’électricité, que ce soit le montage d’équipements ou la réalisation, sera exclusivement réservé aux entreprises algériennes» , affirmant que «des mesures radicales seront prises au profit de l’emploi en Algérie».
Dernière édition par Said B le Sam 26 Fév 2011, 19:10, édité 1 fois
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Nouvelle d'ici et d'ailleurs, événéments du monde...
Information receuillies des journaux et radios Algériennes.
L’Algérie aussi veut des changements.
L’Algérie aussi reste attentive à ce qui se passe en Irak et en Afghanistan, où des dizaines de civils sont tués chaque jour. Des informations sûres parlent de plusieurs centaines de civils tués aux barrages tenus par l'armée américaine, alors que plusieurs centaines d'autres ont été des victimes collatérales de frappes aériennes. Un hélicoptère américain aurait même tué des combattants irakiens qui tentaient de se rendre.
L’Algérie aussi reste attentive à ce qui se passe en Irak et en Afghanistan, où des dizaines de civils sont tués chaque jour. Des informations sûres parlent de plusieurs centaines de civils tués aux barrages tenus par l'armée américaine, alors que plusieurs centaines d'autres ont été des victimes collatérales de frappes aériennes. Un hélicoptère américain aurait même tué des combattants irakiens qui tentaient de se rendre. Le comportement de soldats américains «faisant exploser des bâtiments entiers parce qu'un tireur se trouve sur le toit» est un secret de Polichinelle. Pour autant, la France s’en offusque-t-elle ? L’Allemagne condamne-t-elle ? La Grande-Bretagne appelle-t-elle à la retenue ? Qui ose dénoncer ces crimes odieux et appeler à sauver tous ses Arabes qui se font massacrer tous les jours que Dieu fait par des hommes en armes américains prompts à ouvrir le feu, souvent pour les motifs les plus futiles ? Tous les rapports et tous les témoignages attestent ces dépassements criants commis dans l’impunité la plus totale. L’Algérie aussi affirme son soutien aux droits universels de tous les peuples du monde, au premier rang desquels le droit à la vie et à une démocratie réelle, pas celle des lobbies des armes et du pétrole. La diplomatie américaine a toujours réagi officiellement aux graves dérives commises par ses soldats et ses sbires en Irak et en Afghanistan par le mensonge et les arguments fallacieux, allant jusqu’à justifier l’usage de la torture, toute honte bue. «Le Département d’Etat américain, qui semble garder un œil sur le bouillonnement dans cette partie du globe que sont l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient», devra aussi apporter des réponses aux aspirations de tous les peuples du monde - y compris le peuple américain - qui aspirent à un monde où les Etats-Unis cessent enfin de jouer aux cow-boys. Les règlements de comptes à O.-K. Corral, c’était il y a plus d’un siècle.
L’Algérie aussi veut des changements.
L’Algérie aussi reste attentive à ce qui se passe en Irak et en Afghanistan, où des dizaines de civils sont tués chaque jour. Des informations sûres parlent de plusieurs centaines de civils tués aux barrages tenus par l'armée américaine, alors que plusieurs centaines d'autres ont été des victimes collatérales de frappes aériennes. Un hélicoptère américain aurait même tué des combattants irakiens qui tentaient de se rendre.
L’Algérie aussi reste attentive à ce qui se passe en Irak et en Afghanistan, où des dizaines de civils sont tués chaque jour. Des informations sûres parlent de plusieurs centaines de civils tués aux barrages tenus par l'armée américaine, alors que plusieurs centaines d'autres ont été des victimes collatérales de frappes aériennes. Un hélicoptère américain aurait même tué des combattants irakiens qui tentaient de se rendre. Le comportement de soldats américains «faisant exploser des bâtiments entiers parce qu'un tireur se trouve sur le toit» est un secret de Polichinelle. Pour autant, la France s’en offusque-t-elle ? L’Allemagne condamne-t-elle ? La Grande-Bretagne appelle-t-elle à la retenue ? Qui ose dénoncer ces crimes odieux et appeler à sauver tous ses Arabes qui se font massacrer tous les jours que Dieu fait par des hommes en armes américains prompts à ouvrir le feu, souvent pour les motifs les plus futiles ? Tous les rapports et tous les témoignages attestent ces dépassements criants commis dans l’impunité la plus totale. L’Algérie aussi affirme son soutien aux droits universels de tous les peuples du monde, au premier rang desquels le droit à la vie et à une démocratie réelle, pas celle des lobbies des armes et du pétrole. La diplomatie américaine a toujours réagi officiellement aux graves dérives commises par ses soldats et ses sbires en Irak et en Afghanistan par le mensonge et les arguments fallacieux, allant jusqu’à justifier l’usage de la torture, toute honte bue. «Le Département d’Etat américain, qui semble garder un œil sur le bouillonnement dans cette partie du globe que sont l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient», devra aussi apporter des réponses aux aspirations de tous les peuples du monde - y compris le peuple américain - qui aspirent à un monde où les Etats-Unis cessent enfin de jouer aux cow-boys. Les règlements de comptes à O.-K. Corral, c’était il y a plus d’un siècle.
Dernière édition par Said B le Sam 26 Fév 2011, 19:09, édité 1 fois
Ben- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 6786
Age : 63
Localisation : Belgique.
Date d'inscription : 17/12/2008
Sujets similaires
» L'Evenements du la nuit de Destin (Lailat elkader) à Bougaa
» SITE DU JOUR - 2014
» Message de la jeunesse du monde!
» Documentaires Vidéos Reportages: SOCIÉTÉ.
» Documentaires Vidéos Reportages: REPORTAGE.
» SITE DU JOUR - 2014
» Message de la jeunesse du monde!
» Documentaires Vidéos Reportages: SOCIÉTÉ.
» Documentaires Vidéos Reportages: REPORTAGE.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|